Accueil Tous les zooms Les métiers du social Les métiers du social Lutte contre l'exclusion, conseil aux familles en difficulté, aide aux handicapés... les domaines d'intervention du social sont étendus. Ces métiers s'appuient sur des diplômes de niveau CAP à bac + 4, accessibles en formation initiale ou continue. Imprimer cet article Partager sur Facebook (Nouvelle fenêtre) Permettre à une personne âgée dépendante de continuer à vivre chez elle en lui rendant visite quotidiennement, aider un enfant handicapé moteur à suivre une scolarité normale en le secondant dans ses gestes d'écolier, informer une famille en situation de précarité sur les aides auxquelles elle peut prétendre... Voici quelques exemples des fonctions qu'accomplissent les travailleurs sociaux.Panorama du secteurProfessionnels de l'écoute, de l'aide et du conseil, ils interviennent auprès de publics en difficultés passagères (chômage, maladie, pauvreté) ou permanentes (handicap, perte d'autonomie liée à la vieillesse). Leur action n'est pas seulement matérielle, mais aussi pédagogique et psychologique. Une vingtaine de métiers dans 4 domainesLe secteur regroupe une vingtaine de métiers, dans 4 principaux domaines : l'aide sociale (assistante de service social, conseiller en économie sociale et familiale, etc.), l'éducation spécialisée (éducateur de jeunes enfants, moniteur éducateur, etc.), l'animation (animateur socio-culturel, moniteur éducateur, etc.) et le travail à domicile (assistante de vie pour personnes âgées, auxiliaires de vie sociale, etc.).Les chiffres-clés du secteurLa branche de l'action sociale et du médico-social compte 1,2 millions d’emplois. Les métiers du social recouvrent environ 800 000 de ces emplois. À 99 %, ces emplois sont des emplois salariés. Les femmes sont largement majoritaires puisqu’elles représentent 84 % des actifs de la branche.En France, on dénombre, environ 55 000 éducateurs spécialisés, 31 000 moniteurs éducateurs, 42 000 aides médico-psychologiques, 262 000 auxiliaires de vie sociale et 39 000 assistants de service social.Les travailleurs sociaux exercent au sein des hôpitaux, des caisses d'allocation familiales, des centres de protection maternelle et infantile, des prisons, des centres d'accueil d'urgence, des maisons de quartier, des crèches, des centres d'hébergement pour personnes handicapées, etc. D'autres interviennent à domicile.Si beaucoup travaillent dans la fonction publique, territoriale notamment, la part de salariés du privé ne cesse d'augmenter.À noter : les établissements accueillant des personnes âgées emploient près de 400 000 personnes (tous métiers confondus) et les établissements pour personnes handicapées, 268 000 personnes.Des besoins en hausseAvec l'allongement de la durée de vie et l'augmentation des besoins sociaux liés au contexte économique général, les travailleurs du social sont de plus en plus sollicités. Sans compter que d'ici 2020, de nombreux professionnels actuellement en poste prendront leur retraite, laissant beaucoup de places vacantes.Actuellement, le marché du travail est particulièrement favorable aux assistants de services sociaux, aux éducateurs spécialisés et aux éducateurs de jeunes enfants. 232 965, c’est le nombre de projets de recrutement en 2017 dans les secteurs de la santé et de l’action sociale d’après l’enquête de Pôle emploi sur les « Besoins de main-d’œuvre » (BMO). Les métiers du social figurent en bonne position des secteurs qui recrutent. Le handicap et les personnes âgées offrent des débouchés croissants. En 2015, on comptait 593 005 places pour personnes âgées dépendantes, dans 7 394 EHPAD (Source : DREES – Statiss 2015, in CSA-chiffres clés 2016). Toujours selon la même source, il y avait également 490 000 places pour personnes handicapées en 2015 dont 155 000 pour les enfants et 335 000 pour les adultes.Le « grand plan interministériel en faveur du travail social »En 2015, le ministère en charge des affaires sociales a lancé un « plan d’action interministériel en faveur du Travail Social et du développement social ». Ce plan prévoit 26 mesures autour de 4 thématiques : la participation et l’accompagnement des personnes ; la promotion du développement social pour simplifier les politiques publiques ; la reconnaissance du travail social et la modernisation de l’appareil de formation ; la rénovation de la gouvernance.Le détail des 26 mesures est consultable en suivant ce lien : http://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/egts-26mesures.pdf Plus de 300 formationsLes métiers du social sont accessibles à travers plus de 300 formations, du CAP au master. Souvent, il faut réussir un concours ou un examen pour voir sa candidature acceptée.Le secteur poursuit sa professionnalisation. Au cours des dernières années, plusieurs diplômes ont été créés, par exemple dans le domaine de l'accompagnement des personnes et des services (bac pro services de proximité et vie locale, etc.).De même, le nombre de masters préparant aux fonctions d'encadrement est en constante progression. Autrefois accessibles par le biais de la promotion de carrières, les postes de direction sont désormais ouverts aux spécialistes de la gestion ou du management.Une fois en poste, beaucoup de professionnels sont toutefois déçus par les conditions de travail, notamment les rémunérations faibles au regard de l'investissement personnel. Pour faire carrière dans le social, il est indispensable d'être vraiment très motivé, que l'on exerce sur le terrain aux côtés des bénéficiaires, où que l'on soit cadre au sein d'une structure.En 2016, près de 32 000 étudiants étaient inscrits dans les filières de formation du travail social dont : 4 316 pour le diplôme d’éducateur spécialisé, 3 802 pour aide-médico-psychologique, 3 380 pour moniteur éducateur, 2 545 pour assistant de service social, 1 964 pour éducateur de jeunes enfants, 1 938 pour conseiller en économie sociale et familiale, 1 324 pour auxiliaire de vie sociale, 570 technicien de l’intervention sociale et familiale ou 384 pour le diplôme de directeur d’établissement).L’économie sociale et solidaire (ESS)Ce secteur regroupe des associations, coopératives, fondations, mutuelles ou entreprises qui concilient utilité sociale et activités économiques, et répondent aux besoins des populations et des territoires. Dans l’économie sociale et solidaire, ce sont les publics bénéficiaires qui sont placés au centre des projets, non la recherche de profits.L’économie sociale et solidaire en France est un acteur économique de poids. Elle représente, selon le Gouvernement, plus de 2 millions de salariés, soit plus de 10 % de l’emploi. Environ 221 136 entreprises et structures en France relèvent de l’économie sociale et solidaire. Présente dans la quasi-totalité des secteurs d’activité, l’économie solidaire et sociale est le premier employeur (63 % des emplois) du secteur social.Pour en savoir plus : Panorama de l’Économie sociale et solidaire, CNCRES, 2017. Zoom sur le secteur social en Île-de-FranceL'Île-de-France, comme la plupart des grandes villes françaises, manque de travailleurs sociaux. On dénombre environ 320 000 postes en Île-de-France pour le secteur sanitaire et social. L’Île-de-France compte environ 50 000 aides-soignants, 6 000 aides médico-psychologiques et environ 10 000 auxiliaires de vie sociale. Les effectifs de professionnels connaissent des évolutions de l’ordre de 5 à 10 % par an. Entre 2010 et 2030, le nombre de personnes âgées de 85 ans ou plus devrait progresser de 93 % (+ 170 000 personnes) alors que l’ensemble de la population francilienne n’augmenterait que de 8 %. Les besoins accrus de services de maintien à domicile et d’accueil en structures spécialisées devraient faire émerger de nouveaux emplois pour les professionnels du social et des services à la personne.En 2017, selon l’enquête de Pôle emploi sur les « Besoins de main-d’œuvre » (BMO) il y a eu en Île-de-France 34 204 projets de recrutement dans les secteurs de la santé et de l’action sociale.Source : CNSA chiffres clés 2016 (chiffres Insee, 2012).Les besoins d’accompagnement par des travailleurs sociaux sont élevés, car les contrastes sociaux sont marqués en Île-de-France avec environ 325 000 personnes touchant le RSA en 2016 (pour comparaison : 1,8 millions de personnes sur toute la France).En Île-de-France, le pourcentage de formation post-bac dans le social est supérieur à la moyenne nationale : ces formations regroupent 64 % des effectifs contre 51 % en province. À l'inverse, seuls 26 % se forment à un niveau V contre 36 % en province.Une fois en poste, les travailleurs sociaux franciliens quittent en nombre la région : 30 % des jeunes diplômés finissent par quitter la région après quelques années d'exercice. Les secteurs où les conditions de travail sont les plus rudes sont délaissés. Et en raison du coût du logement à Paris, les services sociaux de la capitale peinent à attirer les jeunes diplômés. Un portail à découvrirTrès complet, le portail des métiers et concours de la santé et du social a pour objectif de mieux faire connaître les métiers du secteur. Il regroupe des fiches métiers, un annuaire des formations et des écoles, un panorama des principaux concours. Un test express vous permet également de savoir en 3 clics quels sont les métiers qui vous correspondent le mieux :http://solidarites-sante.gouv.fr/metiers-et-concours/ Les métiers du socialPanorama des différents métiers du secteur social et des formations nécessaires pour les exercer. Pour certains aucun diplôme n'est requis. Assistant(e) de vie pour personnes âgéesL'assistant de vie pour personnes âgées, qu'on appelle aussi aide à domicile pour personnes âgées, se rend au domicile des personnes en perte d'autonomie pour les aider à effectuer les tâches de la vie courante. Ce professionnel contribue au maintien à domicile de personnes qui seraient placées en institution sans cette aide extérieure.Pour exercer la profession d'aide à domicile, vous devez être à l'écoute de l'autre, capable d'appréhender ses besoins et de l'aider de la manière la plus efficace possible. Travailler auprès de personnes âgées demande beaucoup de douceur et de patience.Pour que la personne aidée se sente en confiance, l'aide à domicile doit procéder avec tact. Grâce à sa bonne humeur, il contribue à redonner le sourire. Sa formation: pas de diplôme mais une tendance à la professionnalisationAu niveau CAP. Un diplôme d'État d'accompagnant éducatif et social spécialité « accompagnement de la vie à domicile » (de niveau V) a été créé en 2016. D'autres diplômes permettent l'exercice de ce métier. Vous pouvez notamment préparer en 2 ans après la 3e, un CAP assistant technique en milieux familial et collectif ou un CAP agricole services aux personnes et vente en espace rural.Une année d'études supplémentaire vous sera nécessaire pour obtenir la MC aide à domicile. Les personnes ayant 3 ans d'expérience professionnelle dans ce domaine peuvent également être admises en formation.À bac. Vous pouvez également préparer, en 2 ans après le CAP ou 3 ans après la 3e, le bac pro services aux personnes et aux territoires ou le bac pro accompagnement, soins et service à la personne, option A : à domicile.En formation continue, il existe aussi un titre professionnel assistant de vie aux familles (formation de 6 mois). Où exerce-t-il?Avec l'allongement de la vie et le vieillissement de la population, les besoins en professionnels intervenant auprès de personnes âgées sont énormes. La plupart du temps salarié, l'assistant de vie pour personnes âgées est employé par des associations, des collectivités territoriales ou encore par les particuliers.Voir la fiche détaillée Aide médico-psychologiqueL'aide médico-psychologique travaille auprès de personnes handicapées ou âgées, très dépendantes. Il leur prodigue les soins quotidiens et met en place des activités d'éveil pour les inciter à communiquer.Les personnes dont l'aide médico-psychologique s'occupe demandent souvent beaucoup d'attention. La patience est de mise pour vivre à leur rythme. L'aide médico-psychologique doit leur accorder une écoute constante et savoir mettre de côté ses problèmes personnels.Pour exercer ce métier, force et robustesse sont indispensables : que ce soit pour le lever, le coucher, les déplacements ou la toilette, l'aide médico-psychologique est amené à soutenir ou à porter ses patients, enfants comme adultes. Sa formation: un diplôme d'État dédiéAvant le bac. Le diplôme d'État d'accompagnant éducatif et social spécialité « accompagnement de la vie en structure collective » (niveau V) créé en 2016 remplace désormais le DEAMP (diplôme d’État d’aide médico-psychologique). La formation se déroule sur 12 à 24 mois.À bac. Vous pouvez également préparer en 3 ans après la 3e, le baccalauréat professionnel accompagnement, soins et services à la personne option B : en structure. Où exerce-t-il?Le secteur associatif, les communes et les hôpitaux sont les principaux employeurs d'aides médico-psychologiques.Les établissements accueillant des personnes handicapées - IME (instituts médico-éducatifs), IMPRO (instituts médico-professionnels), CAT (centres d'aide par le travail) - ont des besoins importants.Conséquence du vieillissement de la population, les perspectives d'emploi se développent très rapidement dans les structures destinées au 3e âge : maisons de retraite et résidences pour personnes âgées.Voir la fiche détaillée Animateur(trice) socioculturel(elle)Le sport, les loisirs et la culture sont les terrains de prédilection de l'animateur socioculturel. Il intervient toujours au niveau d'un groupe de personnes, l'encadre et organise des activités collectives. S'il est animateur de quartier, il peut participer à des actions d'alphabétisation et à des campagnes d'information.L'animateur socioculturel s'adresse non seulement aux enfants et aux adolescents, mais également aux personnes âgées. Il organise aussi bien des activités sportives que des visites culturelles, des débats d'actualité que des séances de ciné-club ou des expositions. Il met en place des ateliers de théâtre, de poterie, de dessin, etc.Pas de place pour la routine ! Les lieux dans lesquels l'animateur socioculturel travaille sont très variés. Il s'adresse à des publics multiples, de tous âges, de toutes conditions. Rassembler des individus ne suffit pas à donner vie à un groupe. Il doit apporter de l'énergie, faire naître des idées, susciter des envies. Imagination et créativité sont indispensables pour élaborer des projets originaux et attrayants. Sa formation: du CAP à bac + 3Dans l'animation, il existe d'une part des diplômes du ministère des Sports (BAFA, BAFD, BASE, BAPAAT, BEES, BPJEPS, DEJEPS), préparés dans des centres agréés par les directions régionales de la jeunesse et des sports et d'autre part, les diplômes de l'Éducation nationale (bac pro, DEUST, DUT, licence pro) proposés par les lycées et universités.Les diplômes non-professionnels. Dès 17 ans, il est possible d'obtenir le BAFA, brevet d'aptitude aux fonctions d'animateur. Il ouvre la voie au métier d'animateur socioculturel et permet de travailler pendant les vacances. À sa suite, le BAFD, brevet d'aptitude aux fonctions de directeur conduit au métier de directeur de centre de loisirs.Le BAPAAT, brevet d'aptitude professionnelle d'assistant animateur technicien de la jeunesse et des sports est accessible sans condition préalable mais une expérience professionnelle dans le secteur est nécessaire (avoir 16 ans minimum également). Il donne le niveau CAP et à son titulaire le droit d'encadrer, d'animer ou d'accompagner des activités physiques, sportives et socioculturelles.À bac. Le bac pro services de proximité et vie locale se prépare en 3 ans, après la 3e ou en 2 ans après un CAP, par exemple, les CAP agent de prévention et de médiation ou CAP accompagnement éducatif petite enfance.De niveau bac également, le BPJEPS, brevet professionnel de la jeunesse, de l'éducation et du sport est un autre moyen de se former à ce métier.À bac + 2. Le DEJEPS, diplôme d'État de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport, de niveau bac + 2, propose une mention « animation sociale ».Toujours à bac + 2, le DEUST animation et gestion des activités physiques et sportives ou culturelles (bac + 2) est proposé par l'université d'Évry et se prépare en 2 ans. Il existe également un DUT carrières sociales option animation sociale et socioculturelle qui s'obtient en 2 ans après un bac général ou ST2S.Enfin, à bac + 3, des licences pro préparent à des fonctions dans les domaines de la médiation, de l'accompagnement social, du développement social, économique ou culturel. Où exerce-t-il?Les plus gros recruteurs sont les collectivités territoriales et les municipalités. Elles proposent d'ailleurs les emplois les plus stables. Les structures d'accueil, destinées au 3e âge notamment, sont de plus en plus demandeuses d'animateurs socioculturels.Le secteur associatif propose également de très nombreux emplois dans des structures dynamiques. Mais, attention, les postes proposés sont souvent précaires.Voir la fiche détaillée Assistant(e)de service socialL'assistante de service social aide les personnes ou les familles à surmonter des difficultés sociales. Elle peut aussi prendre part à des projets pour le développement social de quartiers défavorisés.Quelles que soient les difficultés des familles (difficultés financières, problème de logement, perte d'emploi, etc.), l'assistante de service social est là pour aider sans porter de jugement.L'assistante de service social doit souvent multiplier les contacts et les démarches pour trouver une solution. Ténacité et disponibilité sont alors nécessaires.Certaines situations sont parfois dramatiques : violences familiales, très grande pauvreté, maladie grave, etc. Pour pouvoir y faire face, il faut être soi-même très équilibré.Sa formation : le DEASS à bac + 3Pour exercer cette profession règlementée, vous devez impérativement être titulaire du diplôme d'État d’assistant de service social (DEASS).Cette formation est ouverte aux titulaires du bac ou équivalent, mais aussi à des non bacheliers ayant réussi un examen « de niveau », organisé par les directions régionales de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale (DRJSCS).Il vous est également possible de préparer, en 2 ans, le DUT carrières sociales option assistance sociale, puis le DEASS, en un an. Pour être admis en DUT, vous devez de préférence être titulaire d’un bac général ou bac ST2S.Enfin, le DEIS, diplôme d'État d'ingénierie sociale, est destiné aux assistantes de service social qui exercent depuis 3 ans et souhaitent se tourner vers l'encadrement. Il se prépare en 3 ans en écoles spécialisées (10 établissements le délivrent, dont deux sur Paris et un à Créteil - 94 -).Où exerce-t-il?Les plus gros recruteurs d'assistantes de service social sont les collectivités locales : conseils régionaux ou généraux, municipalités, ARS (agences régionales de santé).L'État propose de nombreux postes au sein des ministères de l'Éducation nationale, des Affaires sociales ou de la Justice, par exemple.Il ne faut pas oublier le secteur privé, le secteur associatif et les organismes de protection sociale comme la CAF (Caisse d'allocations familiales) ou bien l'assurance maladie (Sécurité sociale) où les assistantes de service social sont nombreuses. Trouver un stage conventionné : le parcours du combattantL'obligation pour les employeurs de rémunérer tout stage conventionné de plus de 2 mois est une avancée incontestable pour les étudiants. Mais pour les étudiants du secteur social, cette mesure se traduit également par une diminution du volume de stages proposés, les employeurs - des associations pour l'essentiel - n'ayant pas toujours les moyens de rémunérer leurs stagiaires.Voir la fiche détaillée Auxiliaire de vie socialeL'auxiliaire de vie sociale intervient au domicile des personnes en difficulté sociale, physique ou morale. Il peut s'agir d'enfants, de familles, de personnes âgées, malades ou handicapées. L'auxiliaire les accompagne dans les tâches quotidiennes qu'ils n'arrivent plus à assumer seuls, contribuant ainsi au maintien de leur autonomie et à la lutte contre l'exclusion sociale.L'auxiliaire de vie sociale fréquente au quotidien des personnes en grande difficulté sociale ou psychologique. Par sa bonne humeur, il contribue à leur redonner le sourire. Souple et ouvert, ce professionnel établit un contact non seulement avec la personne aidée, mais aussi avec son entourage. Plein de tact, il sait respecter au quotidien l'espace dans lequel il entre et l'intimité des personnes. Ce métier requiert une bonne organisation, compte tenu de la diversité des tâches à accomplir.Sa formation: de niveau CAP à bacAvant le bac. Deux principaux diplômes vous permettent de devenir auxiliaire de vie sociale : le diplôme d'État d'accompagnant éducatif et social spécialité « accompagnement de la vie à domicile » (niveau V) créé en 2016 en remplacement du DEAVS (diplôme d’État d’auxiliaire de vie sociale), et toujours la MC (mention complémentaire) aide à domicile qui se prépare après un CAP (notamment assistant technique en milieux familial et collectif ou CAP services en milieu rural).À noter : Les personnes ayant 3 ans d'expérience professionnelle peuvent être admises en formation de MC.À bac. Vous pouvez également préparer, en 2 ans après le CAP ou 3 ans après la 3e, le bac pro services aux personnes et aux territoires ou le bac pro accompagnement, soins et service à la personne.En formation continue, il existe aussi un titre professionnel assistant de vie aux familles (formation de 6 mois).Où exerce-t-il?Les associations d'aide à domicile constituent le débouché le plus important pour les auxiliaires de vie sociale. Elles jouent le rôle d'intermédiaire entre les particuliers en difficulté et les auxiliaires. Les collectivités locales font, elles aussi, appel à des auxiliaires de vie sociale. Ainsi, les centres communaux d'action sociale, qui dépendent des mairies, gèrent l'aide sociale. Quelques particuliers embauchent directement des auxiliaires.Le métier d'auxiliaire de vie sociale s'exerce au domicile d'un ou plusieurs particuliers. L'activité peut s'effectuer dans le cadre d'horaires décalés, le week-end et les jours fériés.Voir la fiche détaillée Médiateur(trice) familial(e)Le médiateur familial intervient dans les situations de conflits familiaux (dispute autour d’une succession, divorce ou mauvaises relations au sein d’un couple…). Lorsque le dialogue est rompu, il tente d’apporter des solutions adaptées et répondant aux besoins de chacune des personnes impliquées.Bien sûr sa capacité d’écoute et d’empathie est essentielle et son impartialité également. Le médiateur doit également garder son calme en toutes circonstances.Sa tâche est grande et il suit parfois des familles sur plusieurs semaines, voire plusieurs mois, de l’organisation des réunions à la proposition d’un accord en essayant de concilier les besoins affectifs, psychologiques et économiques de chacun. Parfois, si le problème dépasse son champ d'intervention, il peut être amené à orienter ses clients vers un autre professionnel (psychologue, juriste...).Sa formation : le DEMF (Diplôme d'État de Médiateur Familial) à bac + 3Le DEMF (diplôme d'État de médiateur familial) permet d’accéder à la profession. C’est une formation courte d’environ 600 heures qui doit se dérouler sur 3 ans maximum. Pour l'obtenir, il faut être titulaire d'un diplôme de niveau bac + 2 dans le domaine social, sanitaire ou paramédical ou d’un diplôme de niveau bac + 3 dans les domaines juridique, psychologique ou sociologique. Il est dispensé dans une dizaine d’établissements en France dont l’université de Paris Nanterre et l’ICP (Institut Catholique de Paris) par exemple.Où exerce-t-il?Il est le plus souvent employé par le milieu associatif (école des parents et des éducateurs, union départementale des associations familiales, associations de sauvegarde de l'enfance et de l'adolescence, etc.). Plus rarement, il travaille pour des organismes publics (CAF, mairies, conseils généraux).Voir la fiche détaillée Conseiller(ère) en économie sociale et familialeLe conseiller en économie sociale et familiale aide les familles en difficulté financière ou morale. Il joue aussi un rôle d'animateur, en développant des liens avec le voisinage immédiat et en favorisant l'insertion sociale des personnes isolées.Les publics qu'il rencontre sont variés : chômeurs de longue durée, jeunes ménages, migrants et personnes âgées.Le conseiller en économie sociale et familiale travaille pour et avec les autres : il doit avoir de bonnes capacités d'écoute, le goût pour le contact et réel intérêt pour autrui.Positif et dynamique, il propose des solutions et permet leur mise en pratique, quelles que soient les difficultés rencontrées par ses interlocuteurs.Sa formation: un bac + 3La formation comprend 2 étapes : d'abord un BTS économie sociale et familiale puis le diplôme d'État de conseiller en économie sociale et familiale.Vous pouvez obtenir le BTS économie sociale et familiale en 2 ans après un bac, de préférence ST2S, L, S ou ES.Selon les établissements, la sélection s'effectue sur dossier et entretien ou sur examens, écrits et oraux.Pour décrocher le diplôme d'État de conseiller en économie sociale et familiale, vous devez prolonger vos études de un an après ce BTS. Les épreuves de sélection sont propres à chaque centre de formation. Le diplôme d'État est reconnu au niveau bac + 3.Où exerce-t-il?Plus de la moitié des conseillers en économie sociale et familiale travaille dans le secteur privé.Les organismes sociaux recrutent de nombreux conseillers en économie sociale et familiale. Parmi eux, l'Assurance maladie (sécurité sociale), les caisses d'allocation familiale et les foyers de jeunes travailleurs.Les établissements collectifs, comme les maisons de retraite, les centres d'hébergement pour réfugiés et migrants ou encore les hôpitaux, offrent également des places aux débutants.Voir la fiche détaillée Directeur(trice) d'établissement sanitaire et socialLe responsable d'un établissement sanitaire et social coordonne et gère les activités de l'établissement dont il a la charge.Le directeur est chargé de la conduite générale de l'établissement dans les domaines sanitaire, social et médico-social, de l'animation et de la coordination des actions. Il décide ainsi des moyens à mettre en œuvre, de la coordination de ses équipes dans le respect des décisions du conseil d'administration de son établissement. Il doit constamment veiller au développement de la qualité des prestations au bénéfice des usagers, et communiquer sur les actions de son établissement. Il veille aussi à la bonne marche de l'établissement et en assure sa gestion administrative et financière.Prévoir, anticiper, faire face à des imprévus tant au niveau des finances que des équipes, le responsable d'un établissement sanitaire et social doit savoir gérer au mieux le quotidien de sa structure. La diversité et la complexité des missions dont il a la charge demandent que le responsable d'un établissement sanitaire et social soit rigoureux, méthodique et sache coordonner les différentes actions.Sa formation: le CAFDES, un diplôme à bac + 5Les fonctions de directeur d'établissement sanitaire, social et médico-social (DESSMS) sont accessibles par concours. Il faut justifier de l'un des diplômes exigés pour l'admission au concours externe d'entrée à l'École nationale d'administration (ENA), c'est-à-dire avoir validé un cursus équivalent à 3 années dans l'enseignement supérieur : licence économique (bac + 3), diplôme d'IEP, de pharmacie, de médecine, école d'ingénieurs, etc. Certains masters également sont bien adaptés, tel le master pro management des organisations sanitaires et sociales (Paris 13).À noter : l'École des hautes études en santé publique (EHESP), entre autres, propose des préparations à ce concours, qui est constitué d'épreuves écrites et orales.Les candidats admis au concours sont nommés stagiaires et suivent un cycle de formation théorique et pratique, qui se déroule sur une période de 24 à 30 mois. La formation est assurée par 8 centres de formation à travers la France. Les élèves directeurs qui ont satisfait aux épreuves de validation de fin de formation sont de plein droit titulaires du CAFDES, le certificat d'aptitude aux fonctions de directeur d'établissement ou de service d'intervention sociale.Ils choisissent une affectation en fonction de leur classement.Où exerce-t-il?La fonction publique hospitalière est le principal recruteur des responsables d'établissement sanitaire et social. Cadre de direction de la fonction publique hospitalière, il est rémunéré par l'établissement ou la collectivité de rattachement. Il peut s'agir de foyers de l'enfance, de maisons d'enfants à caractère social, de centres d'hébergements et de réinsertion sociale, d'instituts médico-éducatifs, d'établissements et services d'aide par le travail, de maison d'accueil spécialisées, d'établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes, etc.En 2018, 60 places sont offertes au concours externe de directeur d'établissement sanitaire, social et médico-social. Lors de la première affectation, c'est l'ordre du classement au concours qui détermine l'ordre de choix de poste des candidats.Voir la fiche détaillée Éducateur(trice) de jeunes enfantsLes bambins de 3 mois à 7 ans l'entourent au quotidien ! Ce professionnel contribue à l'éveil des enfants en stimulant leurs facultés artistiques, affectives et intellectuelles.Aimer les petits ne suffit pas. Il faut pouvoir animer et encadrer des groupes d'enfants... même turbulents ! L'éveil et la socialisation des enfants passent par des activités à la fois manuelles, motrices et sensorielles. L'éducateur de jeunes enfants doit sans cesse trouver de nouvelles idées.Sa formation: un diplôme à bac + 3Un seul diplôme vous permet d'exercer le métier : le DEEJE, diplôme d'État d'éducateur de jeunes enfants. Il se prépare en 3 ans dans les écoles agréées spécialisées. Chaque école possède à l'entrée ses propres épreuves de sélection.Cette formation est ouverte aux titulaires du bac ou équivalent mais aussi aux titulaires du diplôme d'État d'auxiliaire de puériculture, du CAP accompagnement éducatif petite enfance, du diplôme d'État d'aide médico-psychologique ou du diplôme d'État d'auxiliaire de vie sociale, pouvant justifier de 3 ans d'expérience professionnelle dans le champ de la petite enfance. Néanmoins, tous doivent subir les épreuves de sélection organisées par chaque centre de formation.Les élèves de niveau terminale sans le bac peuvent également accéder aux épreuves de sélection après réussite d'un examen de niveau organisé par les directions régionales de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale (DRJSCS).Où exerce-t-il?Les plus gros recruteurs sont les services communaux ou la fonction publique territoriale, qui embauchent des éducateurs de jeunes enfants pour les crèches municipales, les haltes-garderies ou les jardins d'enfants. Les mairies recrutent également pour les services de PMI (protection maternelle et infantile) et les services sociaux.Voir la fiche détaillée Éducateur(trice) spécialisé(e)Exerçant auprès de publics en difficulté (déficiences physiques, psychiques, troubles du comportement, problèmes d'insertion...), l'éducateur spécialisé est souvent amené à travailler avec des enfants ou des adolescents. Il concourt à leur éducation et les aide à maintenir ou à développer leur autonomie.Très polyvalent, l'éducateur spécialisé vient en aide à des publics extrêmement variés. Il doit faire preuve d'une grande maturité et ne pas laisser ses émotions prendre le dessus.Sa formation: un diplôme à bac + 3Le diplôme d'État d'éducateur spécialisé (DEES) est nécessaire pour exercer ce métier.Vous devrez réussir des épreuves d'admission propres à chaque école agréée par le ministère du Travail.Un autre parcours de formation peut vous mener au DEES : préparer en 2 ans le DUT carrières sociales option éducation spécialisée (proposé en Île-de-France par l’IUT de ville d’Avray-Nanterre) puis demander à bénéficier d’un allègement de formation pour ne suivre que la 3e année aboutissant au DEES.Où exerce-t-il?La grande majorité des éducateurs spécialisés est recrutée par des établissements d'éducation spécialisée. Les mairies, les départements ou les régions les emploient dans les foyers de jeunes travailleurs, les centres d'hébergement et de réinsertion ou encore comme éducateurs de rue dans des quartiers sensibles.Enfin, la fonction publique recrute des éducateurs spécialisés, notamment pour les internats des établissements scolaires ou dans les établissements de protection judiciaire de la jeunesseÉducateur spécialisé et éducateur technique spécialisé : quelle différence ?Tandis que l’éducateur spécialisé accompagne les personnes au quotidien dans leurs démarches (familiales, sociales, relationnelles voire judiciaires), l’éducateur technique se sert d’un métier pour encadrer des ateliers divers : menuiserie, métallerie, parcs et jardins, cuisine et service en restaurant… et ainsi mobiliser la personne sur un projet, valoriser ses capacités.Pour devenir éducateur technique spécialisé, il faut obtenir le DEETS (diplôme d’État d’éducateur technique spécialisé) reconnu de niveau bac + 3.Voir la fiche détaillée Moniteur(trice) éducateur(trice)Par son rôle d'accompagnement, le moniteur éducateur permet à des enfants, adolescents ou adultes inadaptés ou handicapés, de restaurer et de développer leur autonomie. Il participe au quotidien à l'action éducative en liaison avec les autres professionnels de l'éducation spécialisée.Ce métier demande un goût pour le travail en équipe, un intérêt prononcé pour les problèmes humains et le sens de l'animation de groupes.Sa formation: un diplôme de niveau bac minimumPour exercer ce métier, vous devez être titulaire du diplôme d'État de moniteur éducateur (DEME). Reconnu de niveau bac, ce dernier se prépare dans des écoles spécialisées. La formation, d'une durée de 2 ans, mêle enseignements théoriques et enseignements pratiques sous forme de stages. Elle donne le niveau bac.Pour entrer en formation, aucun diplôme n’est exigé mais on compte parmi des candidats admis de nombreux titulaires du bac (voire plus).Chaque école organise ses épreuves d’admission (écrit + oral). Si vous êtes titulaire du bac ou d'un diplôme équivalent, une dispense de l'épreuve écrite vous sera accordée.Où exerce-t-il?Le moniteur-éducateur peut travailler dans un centre de soins, un institut médico-pédagogique, un internat, un foyer d'accueil, etc.Pour envisager une évolution professionnelle vers le métier d'éducateur spécialisé ou de directeur d'établissement d'intervention sociale, il faudra suivre des formations complémentaires.Voir la fiche détaillée Technicien(enne) de l'intervention sociale et familialeLe technicien de l'intervention sociale et familiale, appelé également travailleur familial, apporte une aide matérielle aux familles qui traversent une période délicate à gérer : hospitalisation ou décès d'un des parents, longue maladie, naissance d'un enfant, survenue d'un handicap, etc. Il contribue aussi à maintenir à domicile les personnes âgées ou handicapées, en les épaulant pour les tâches ménagères.Le technicien de l'intervention sociale et familiale soulage et aide les familles en les déchargeant d'une partie des tâches quotidiennes : ménage, lessive, préparation des repas, courses, toilette des enfants, aide aux devoirs, etc. Il accompagne les personnes en difficulté pour de courtes périodes, après un accident par exemple ou à long terme, notamment pour la prise en charge d'une personne âgée. Il peut également prodiguer des conseils sur la gestion du budget familial et guider les démarches administratives.Le technicien de l'intervention sociale et familiale doit être organisé car il évolue dans un environnement toujours différent et propre à chaque foyer. Sa formation : le DETISF, un diplôme de niveau bacPour exercer ce métier, le DETISF, diplôme d'État de technicien de l'intervention sociale et familiale est indispensable. La formation est accessible aux candidats âgés de 18 ans au moins, sans exigence de diplôme mais de nombreux admis sont titulaires du bac et plus.Dans tous les cas, un examen de sélection (écrit et oral) est organisé. Les candidats titulaires du bac ou équivalent sont dispensés de l'épreuve écrite.Les titulaires du DETISF bénéficient de dispenses ou allégements de formation en vue de préparer le diplôme d'État de moniteur éducateur (DEME), d'éducateur de jeunes enfants (DEEJE) et d'éducateur spécialisé (DEES). Où exerce-t-il?Le technicien de l'intervention sociale et familiale est recruté par trois types de structures : les associations d'aide à domicile en milieu urbain ou rural, les collectivités locales, les organismes sociaux comme la Sécurité sociale, la CAF (caisse d'allocations familiales) ou les mutuelles.Il peut être embauché par des foyers pour l'enfance, des centres d'accueil des handicapés ou des résidences pour personnes âgées.Le métier de TISF s'exerce au domicile d'un ou plusieurs particuliers. L'activité peut s'effectuer dans le cadre d'horaires décalés.Voir la fiche détaillée Mes ressources utiles DRJSCS d’Île-de-France6/8 rue Eugène Oudiné, CS 81360, 75 634 Paris cedex 13, tél. 01 40 77 55 00http://ile-de-france.drjscs.gouv.fr/spip.php?article112 IRFASE, Institut de recherche et de formation à l'action sociale de l'Essonne5, Terrasses de l'Agora, 91034 Évry cedex,Mail : irfase.idf@irfase.com, tél. 01 60 79 47 47http://irfase.com/ Métiers et secteursChangerdesvies.comPlateforme présentant une soixantaine de témoignages (photos, récits, podcasts et vidéos) de professionnels du secteur social, médico-social et sanitaire privé à but non lucratif.https://changerdesvies.com/ Le travail social en milieu ouvertL’action éducative en milieu ouvert est une mesure de protection de l’enfant vivant dans son milieu familial. Elle intervient dès lors que les conditions de vie de l’enfant sont susceptibles de le mettre en danger ou quand ses parents rencontrent des difficultés particulières dans leurs responsabilités éducatives.Pour tout savoir sur le travail social en milieu ouvert, visitez le site du CNAEMO, Carrefour National de l'Action Éducative en Milieu Ouvert.http://www.cnaemo.com L'éducateur de jeunes enfantsLa FNEJE, Fédération nationale des éducateurs de jeunes enfants, propose sur son site une présentation détaillée du métier d'éducateur de jeunes enfants et du parcours de formation correspondant.https://www.fneje.com/ Les assistants de service socialPour découvrir le travail des assistants sociaux au quotidien, rendez-vous sur le site de l'ANAS, Association nationale des assistants de service social. Au menu des brèves d'actualité, des informations sur le travail social et sur le recrutement dans le secteur.https://www.anas.fr/ Les métiers de l'aide à domicileSur le site du réseau Adessa des associations d'aide à domicile, vous trouverez une liste exhaustive ou presque des métiers de cette branche ainsi qu'une fiche descriptive pour chacun d'entre eux, accompagnée d’une vidéo.http://adessadomicile.org/ Les métiers du soin et de l'accompagnement : calendrier et concoursSite du ministère du Travail, de la Santé et des Solidarités, sur les métiers, les formations et les concours dans le domaine du social. Chaque métier social fait l'objet d'une fiche détaillée.https://sante.gouv.fr/metiers-et-concours/ Les métiers du secteur sanitaire et social en Île-de-FranceDescription de 8 métiers-phares avec conditions d’accès, durée de la formation…https://www.iledefrance.fr/toutes-les-actualites/formez-vous-aux-metiers-de-la-sante-et-du-lien-social UNAFORIS, Union nationale des acteurs de formation et de recherche en intervention socialeLa création de ce réseau national unique a un double objectif :- la création de Hautes Écoles Professionnelles en Action Sociale et de Santé, qui seront des établissements d’enseignement supérieur professionnel ;- la mise en cohérence de ces formations pour favoriser parcours et mobilités professionnels.Son site présente de nombreuses fiches synthétiques sur les métiers du domaine. Pratique : l'annuaire des centres de formation pour chaque métier.http://www.unaforis.eu/ Choix de formations - orientation Annuaire Sanitaire et SocialUn annuaire des établissements sanitaires et sociaux, mais aussi des lieux de formation (rubrique formation). La recherche se fait par région ou par nom d'organisme. Cet annuaire permet la localisation des structures d'hospitalisation, des établissements de soins, des associations d'aide au maintien à domicile des personnes âgées, etc.http://www.sanitaire-social.com Bourses des étudiants du sanitaire et social en Île-de-FrancePour tout savoir sur les conditions d'attribution des bourses aux étudiants du social et faire sa demande en ligne.https://www.iledefrance.fr/morienter-etudier-me-former/etudiants-en-formations-sanitaires-et-sociales Emploi et recrutement Emploisocial.netOffres d'emploi dans le social et possibilité de dépôt de candidatures dans la CVthèque.http://www.emploisocial.net LeSocial.frSur ce site très complet créé et réactualisé par des travailleurs sociaux, vous trouverez de nombreuses offres d'emploi.Un forum est également à votre disposition, ainsi qu'un annuaire des centres de formation.http://www.lesocial.fr Actualités spécialisées ASH, actualités sociales hebdomadairesSite web de la revue spécialisée ASH destinée aux professionnels de l'action sociale. On y retrouve des actualités, des interviews, l'agenda des événements du secteur, des offres d'emploi, des fiches métiers, etc. Ce site propose également un carnet d'adresses où figurent les coordonnées de tous les organismes sociaux.http://www.ash.tm.fr GEP So, Groupe national des établissements et services publics sociauxDes documents d'information et de réflexion, des actualités sur le secteur, ainsi que quelques offres d'emploi.http://www.gepso.com La Gazette Santé SocialToute l'actualité du secteur médico-social, ainsi que des offres d'emploi et un forum.http://www.lagazette-sante-social.com Études et statistiques L'enquête Aide sociale, juillet 2020Dans le cadre d’une enquête annuelle sur l’aide sociale, la DREES recueille des données sur le personnel de l’action sociale et médico-sociale départementale ainsi que des services conventionnés ou prestataires, y compris le personnel d’État mis à disposition du département.https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/sources-outils-et-enquetes/lenquete-aide-sociale Crédits photos© KatarzynaBialasiewicz © PeopleImages © Weedesign © monkeybusinessimages © asiseeit © jacoblund © sturti © shapecharge © Jean-Philippe Wallet © FatCamera © vm © kali9 © SolStock © SilviaJansen © Halfpoint © Dean Mitchell © fizkes © asiseeit © sturti © Rawpixel © Stock planets
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