Accueil Tous les zooms Les métiers de l'économie sociale et solidaire Les métiers de l'économie sociale et solidaire Mettre l'homme au cœur de l'entreprise, tel est l'objectif de l'ESS qui rassemble les entreprises cherchant à concilier activité économique et utilité sociale, donnant la priorité aux projets sur la recherche de profits. Imprimer cet article Partager sur Facebook (Nouvelle fenêtre) La solidarité collective et le partage du pouvoir dans l'entreprise sont au cœur de leur fonctionnement. De même, les bénéfices sont réinvestis dans les projets et aux services des salariés. Dans ces entreprises, « une personne = une voix » dans les décisions à prendre. Les valeurs de l'économie sociale sont ainsi la liberté, l'égalité et la solidarité. Dossier réalisé en partenariat avec l'UDES. Mettre l'homme au cœur de l'entreprise est l'objectif visé par l'économie sociale et solidaire. L'ESS rassemble ainsi les entreprises (associations, coopératives, fondations, mutuelles) qui cherchent à concilier activité économique et utilité sociale, donnant la priorité aux projets sur la recherche de profits. La solidarité collective et le partage du pouvoir dans l'entreprise sont au cœur de leur fonctionnement. De même, les bénéfices sont réinvestis dans les projets et aux services des salariés. Sur les 10 dernières années, l'ESS a créé 440 000 emplois nouveaux, en croissance de 23 %. Dans le même temps, l'ensemble de l'emploi privé n'augmentait que de 7 %, selon le ministère de l'Économie.Zoom sur l'ESS en Île-de-FranceAvec plus de 388 700 salariés, l'ESS représente un peu plus de 7 % des emplois de la région, selon le Panorama de l'ESS 2018. L'économie sociale et solidaire francilienne représente plus de 33 200 établissements : les associations (90 %), les coopératives (5,6 %), les mutuelles (2,4 %) et les fondations (1,5 %). Les acteurs de l'action sociale restent les employeurs les plus importants en nombre avec plus de 120 000 salariés. Selon l'Observatoire, les associations sont les principaux employeurs de l'économie sociale et solidaire, regroupant 90 % des établissements employeurs et 77 % des effectifs.À ne pas manquer : le mois de l'ESSTous les ans au mois de novembre, plus de 2 000 évènements pour découvrir en Île-de-France une économie qui a du sens !www.lemois-ess.orgL'économie sociale et solidaire (ESS) représente plus de 10 % des emplois en France. On compte 221 136 entreprises et structures employant 2,35 millions de salariés dans le secteur.Du social aux activités financières et d'assurance, les entreprises de l'ESS exercent le plus souvent dans le secteur tertiaire. L'éducation, la santé et l'action sociale (c'est-à-dire l'aide aux personnes les plus fragiles comme les personnes âgées) sont les secteurs les plus créateurs d'emploi.Selon le CNCRESS, l'économie sociale et solidaire dénombre :63 % des emplois du secteur social ;57 % des emplois du sport et des loisirs ;30 % des activités financières, bancaires et d'assurance ;26 % des emplois de la culture ;11 % des emplois de l'enseignement.Dans l'économie sociale et solidaire, comme dans le secteur public, l'emploi des femmes est majoritaire avec 68 % des effectifs. L'économie sociale et solidaire compte peu d'ouvriers (en majorité masculins), mais une forte proportion d'employés et de professions intermédiaires. Le taux d'encadrement est supérieur au privé et majoritairement féminin.Dans les entreprises de l'ESS, les décisions sont prises localement. Elles développent des activités économiques, non-délocalisables qui répondent aux besoins des territoires.Les associations représentent 1,82 millions d'emplois, les coopératives 306 000, les mutuelles 126 000, et les fondations 68 000.Enfin, avec plus de 700 000 salariés de 50 ans et plus, c'est plus d'un salarié sur 4 qui devrait prendre sa retraite en 2025. Les perspectives de recrutements sont donc fortes et les opportunités nombreuses !Les Emplois d'avenir et l'ESSLa création du dispositif des Emplois d'avenir a pour but de lutter contre le chômage des jeunes de 16 à 25 ans en proposant un parcours d'insertion professionnelle vers les compétences attendues sur un marché de l'emploi de plus en plus difficile d'accès. La CRESS IDF a signé en novembre 2012 avec l'État une convention de partenariat afin d'assurer l'information et la promotion de ce dispositif auprès des acteurs de l'Économie sociale et solidaire.À découvrir : http://www.emploisdavenir-uniformation.fr/.Par ailleurs, la région Île-de-France, par l’intermédiaire sa présidente, Valérie Pécresse, a présenté en octobre 2017 devant les acteurs du secteur de l’ESS, des propositions visant à renforcer cette filière et l’emploi salarié. « Si on veut développer l'emploi grâce à l'ESS, il faut favoriser l'émergence de « champions » », a affirmé Valérie Pécresse. Pour cela elle souhaite faciliter l’accès aux aides régionales des entreprises de petite taille (TPE, PME, start-up) et inciter les acteurs « à mieux travailler ensemble, notamment par la promotion des « joint-venture » sociales, permettant à des structures d'insertion de s'allier à des grands groupes pour mieux répondre aux appels d'offres ». Les entreprises de l'économie sociale et solidaireDans les entreprises de l'ESS, les décisions sont prises localement. Elles développent des activités économiques, non-délocalisables qui répondent aux besoins des territoires. Elles emploient plus de 2,35 millions de salariés en France. En Île-de-France, on dénombre 33 200 entreprises employeurs rassemblant 388 700 salariés. Les associationsLes associations sont des sociétés de personnes dotées d'une personnalité juridique depuis le 1er juillet 1901. Certaines sont reconnues d'utilité publique. Une association doit avoir un autre but que de partager des bénéfices. Son activité ne doit pas enrichir directement ou indirectement l'un de ses membres.Avec 82,5 % du nombre d'organisations employeuses et 77 % du volume d'emploi, les associations sont le poids lourd de l'économie sociale et solidaire au niveau national. En Île-de-France, les associations emploient plus de 310 000 personnes soit 90 % des entreprises de l'ESS sur le territoire régional.En France, la moitié des emplois associatifs relève du social. L'emploi associatif est également important dans les domaines de l'éducation (12,1 %), du social (49,4 %) et de la santé (7,2 %). En Île-de-France, 37,7 % des associations relèvent de l'action sociale, loin devant l'enseignement (6,2 %) et la santé (3,5 %).Exemples d'associations : La Croix-Rouge, le réseau des ADMR (associations du service à domicile), l'APAJH (association pour adultes et jeunes handicapés), etc. Les coopérativesLes coopératives sont des sociétés de personnes ayant pour finalité première de rendre des services individuels et collectifs à leurs membres. Des engagements réciproques et durables se nouent entre la coopérative et les membres qui sont à la fois associés et clients, producteurs ou salariés. (Source CoopFR).Avec 314 000 salariés fin 2016, les coopératives affichent un taux annuel moyen de croissance des emplois de près de 4 %.En Île-de-France, elles représentent un peu plus de 7 % des établissements employeurs et 8,5 % des effectifs de l'économie sociale et solidaire. En 2016, un peu plus de 34 373 Franciliens travaillaient dans une coopérative.En France, finance, industrie et commerce rassemblent 80 % des emplois coopératifs, mais c'est dans les services aux entreprises que l'emploi croît le plus rapidement. Pour l'Île-de-France, les activités financières et d'assurance représentent 63 % des activités des coopératives loin devant les 11 % du commerce.Exemples de coopératives : Crédit mutuel, Banque populaire, Système U, Édouard Leclerc, Optic 2000, Intersport, Biocoop, Chèque Déjeuner, etc. Les mutuellesLa mutuelle est la propriété collective de ses membres. Elle doit agir dans leur intérêt dans des domaines variés.Depuis quelques années, les mutuelles connaissent un fort mouvement de regroupement, qui conduit à une diminution du nombre des petites mutuelles, à un accroissement des plus grosses et à une petite croissance de l'emploi (+ 1 % en moyenne par an).Les 157 000 emplois en France se répartissent en trois tiers :- l'assurance des biens ;- l'assurance des personnes ;- le regroupement des secteurs de la santé, du social et du commerce.Dans la région francilienne, 73 % des activités des mutuelles relèvent du secteur financier et de l'assurance.Les perspectives d'emploi s'annoncent florissantes avec les nombreux départs à la retraite des prochaines années.Exemples de mutuelles : MAIF, MGEN, MAAF, Groupama, etc. Les fondationsSelon le Centre français des fonds et fondations, la fondation est l'acte par lequel une ou plusieurs personnes physiques ou morales décident l'affectation irrévocable de biens, droits ou ressources à la réalisation d'une œuvre d'intérêt général et à but non-lucratif.Avec près de 85 382 salariés à la fin de l'année 2016, les fondations se développent fortement. L'emploi progresse en moyenne de 5 % par an.Les principaux domaines d'activité qu'elles ont investis sont : la santé, le social et, loin derrière, les services aux entreprises et l'éducation.En Île-de-France, on recense 567 fondations employant un peu plus de 31 368 personnes. Cela représente 1,8 % des entreprises de l'ESS et un peu plus de 7,7 % des effectifs du secteur. Parmi ces fondations 40 % travaillent dans l'action sociale.Exemples de fondations : Fondation de France, Fondation Macif, Fondation Abbé Pierre, etc. Les métiers du social dans l'ESSDans l'économie sociale et solidaire, on compte 49 % des employés dans le secteur du social, avec une grande partie de l'activité dans la filière de l'aide à domicile. En France, on dénombre 232 000 intervenants à domicile en activité dans près de 5 000 structures qui regroupent des associations, des collectivités territoriales, des centres communaux d'action sociale.L'aide et l'accompagnement à domicile sont au service des familles à tous les âges de la vie. Il s'agit d'accompagner les personnes dans leur choix de vie pour qu'elles puissent être maintenues au domicile quel que soit leur état (personnes âgées, personnes handicapées, familles en difficulté, etc.). Avec le vieillissement de la population, les besoins en recrutement augmentent chaque année, avec en parallèle une professionnalisation du secteur.Assistant(e)de vie pour personnes âgées L'assistant de vie pour personnes âgées, qu'on appelle aussi aide à domicile pour personnes âgées, se rend au domicile des personnes en perte d'autonomie pour les aider à effectuer les tâches de la vie courante. Ce professionnel contribue au maintien à domicile de personnes qui seraient placées en institution sans cette aide extérieure.Pour exercer la profession d'aide à domicile, vous devez être à l'écoute de l'autre, capable d'appréhender ses besoins et de l'aider de la manière la plus efficace possible. Travailler auprès de personnes âgées demande beaucoup de douceur et de patience.Pour que la personne aidée se sente en confiance, l'aide à domicile doit procéder avec tact. Grâce à sa bonne humeur, il contribue à redonner le sourire à ses « protégés ».Sa formation: aucun diplôme exigéAvant le bac. Pour devenir aide à domicile pour personnes âgées, un diplôme du type CAP est apprécié. Vous pouvez notamment préparer en 2 ans après la 3e, un CAP assistant technique en milieux familial et collectif ou un CAP agricole services aux personnes et vente en espace rural.Une année d'études supplémentaire vous sera nécessaire pour obtenir la MC aide à domicile. Les personnes ayant 3 ans d'expérience professionnelle dans ce domaine peuvent également être admises en formation.Au niveau bac. Vous pouvez également préparer, en 2 ans après le CAP ou 3 ans après la 3e, le bac pro services de proximité et vie locale ou le bac pro accompagnement, soins et services à la personne et ses deux options : à domicile (A), en structure (B).En formation continue, il existe aussi un titre professionnel assistant(e) de vie aux familles (formation de 6 mois).Où exerce-t-il?Avec l'allongement de la vie et le vieillissement de la population, les besoins en professionnels intervenant auprès des personnes âgées sont énormes. La plupart du temps salarié, l'assistant de vie pour personnes âgées est employé par des associations, des collectivités territoriales ou encore par les particuliers.Voir la fiche détaillée Auxiliaire de vie socialeL'auxiliaire de vie sociale intervient au domicile des personnes en difficulté sociale, physique ou morale. Il peut s'agir d'enfants, de familles, de personnes âgées, malades ou handicapées. L'auxiliaire les accompagne dans les tâches quotidiennes qu'ils n'arrivent plus à assumer seuls, contribuant ainsi au maintien de leur autonomie et à la lutte contre l'exclusion sociale.L'auxiliaire de vie sociale fréquente au quotidien des personnes en grande difficulté sociale ou psychologique. Par sa bonne humeur, il contribue à leur redonner le sourire. Souple et ouvert, ce professionnel établit un contact, non seulement avec la personne aidée, mais aussi avec son entourage. Plein de tact, il sait respecter au quotidien l'espace dans lequel il entre et l'intimité des personnes. Ce métier requiert une bonne organisation, compte tenu de la diversité des tâches à accomplir.Sa formation: deux diplômes pharesPour devenir auxiliaire de vie sociale le DEAVS, diplôme d'État d'auxiliaire de vie sociale, et la MC (mention complémentaire) aide à domicile sont les deux diplômes dédiés.Où exerce-t-il?Les associations d'aide à domicile constituent le débouché le plus important pour les auxiliaires de vie sociale. Elles jouent le rôle d'intermédiaire entre les particuliers en difficulté et les auxiliaires. Les collectivités locales font, elles aussi, appel à des auxiliaires de vie sociale. Ainsi, les centres communaux d'action sociale, qui dépendent des mairies, gèrent l'aide sociale. Quelques particuliers embauchent directement des auxiliaires.Le métier d'auxiliaire de vie sociale s'exerce au domicile d'un ou plusieurs particuliers. L'activité peut s'effectuer dans le cadre d'horaires décalés, le week-end et les jours fériés.Voir la fiche détaillée Aide-soignant(e) L'aide-soignant aide les patients à faire leur toilette, à prendre leurs différents repas et à s'habiller. Il range les chambres, change les draps des lits et assiste le personnel infirmier. Il est chargé d'aider à changer les pansements, de distribuer des médicaments et de prendre la température ou la tension.Moins impressionnant et plus présent que le personnel médical, l'aide-soignant est volontiers choisi par les malades comme confident. Mais le contact avec la maladie et la mort demande une bonne résistance nerveuse et psychologique.Sa formation: un diplôme de niveau VPour exercer cette profession, il faut être titulaire du diplôme d'État d'aide-soignant. La formation menant à ce diplôme est accessible sans aucune condition de diplôme.Le diplôme d'État d'aide-soignant (DEAS) se prépare en 1 an après réussite du concours d'entrée comprenant des épreuves écrites d'admissibilité puis un oral d'admission. Il faut être âgé de 17 ans au moins pour passer les épreuves de sélection.Les titulaires d'un diplôme de niveau IV (bac), ou de niveau V dans le secteur sanitaire et social (par exemple le CAP accompagnant éducatif petite enfance), sont dispensés des épreuves écrites. Il en est de même pour les étudiants ayant suivi une première année d'école d'infirmier.Après 3 années d'exercice professionnel, un aide-soignant titulaire du DEAS, peut se présenter au concours d'infirmier.Après quelques années d'expérience, les aides-soignants peuvent accéder à d'autres métiers : auxiliaire de puériculture, aide médico-psychologique, moniteur éducateur… Ils seront dispensés de plusieurs modules de formation.Où exerce-t-il?Près de 70 % des aides-soignants officient à l'hôpital ou dans les cliniques. Les centres de soins pour personnes âgées se développent très vite, offrant de nombreux débouchés aux aides-soignants débutants. L'aide-soignant peut aussi intervenir dans le cadre des services de soins infirmiers à domicile (SSIAD) sous l'autorité d'un infirmier.Voir la fiche détaillée Technicien(ne) de l'intervention sociale et familiale Le technicien de l'intervention sociale et familiale, appelé également travailleur familial, apporte une aide matérielle aux familles qui traversent une période délicate à gérer : hospitalisation ou décès d'un des parents, longue maladie, naissance d'un enfant, survenue d'un handicap, etc. Il contribue aussi à maintenir à domicile les personnes âgées ou handicapées, en les épaulant pour les tâches ménagères.Le technicien de l'intervention sociale et familiale soulage et aide les familles en les déchargeant d'une partie des tâches quotidiennes : ménage, lessive, préparation des repas, courses, toilette des enfants, aide aux devoirs, etc. Il accompagne les personnes en difficulté pour de courtes périodes, après un accident par exemple ou à long terme, notamment pour la prise en charge d'une personne âgée. Il peut également prodiguer des conseils sur la gestion du budget familial et guider les démarches administratives.Le technicien de l'intervention sociale et familiale doit être organisé car il évolue dans un environnement toujours différent et propre à chaque foyer.Sa formation: le niveau bac minimumPour exercer ce métier, le DETISF, diplôme d'État de technicien de l'intervention sociale et familiale (de niveau bac) est indispensable. La formation est accessible aux candidats âgés de 18 ans au moins, sans exigence de diplôme mais de nombreux admis sont titulaires du bac et plus.Dans tous les cas, un examen de sélection (écrit et oral) est organisé. Les candidats titulaires du bac ou équivalent sont dispensés de l'épreuve écrite.Les titulaires du DETISF bénéficient de dispenses ou allégements de formation en vue de préparer le diplôme d'État de moniteur éducateur (DEME), d'éducateur de jeunes enfants (DEEJE) et d'éducateur spécialisé (DEES).Où exerce-t-il ?Le technicien de l'intervention sociale et familiale est recruté par trois types de structures : les associations d'aide à domicile en milieu urbain ou rural, les collectivités locales, les organismes sociaux comme la Sécurité sociale, la CAF (caisse d'allocations familiales) ou les mutuelles.Il peut être embauché par des foyers pour l'enfance, des centres d'accueil des handicapés ou des résidences pour personnes âgées.On dénombre environ 8 000 TISF en activité. En Île-de-France, selon le Geste, Groupement d'études sociales techniques et économiques, le nombre de personnes formées chaque année correspond globalement aux besoins.Le métier de TISF s'exerce au domicile d'un ou plusieurs particuliers. L'activité peut s'effectuer dans le cadre d'horaires décalés.Voir la fiche détaillée Infirmier(ère)Qu'il travaille en milieu hospitalier ou qu'il soit indépendant, l'infirmier est l'auxiliaire indispensable du médecin. Il est le garant de la qualité des soins apportés aux patients. L'infirmier travaille sur prescription médicale. Il distribue les médicaments, refait des pansements, pratique des injections ou des prises de sang, et pose des perfusions. Il règle et contrôle les appareils de mesure ou de surveillance.Faire face à la douleur des malades est parfois difficile à vivre. Mieux vaut avoir les nerfs solides et un équilibre personnel. L'infirmier passe presque toutes ses journées debout. Ses horaires sont souvent irréguliers.Sa formation: BAC + 3Le diplôme d'État d'infirmier, indispensable pour exercer, se prépare en 3 ans au sein d'un IFSI, Institut de formation en soins infirmiers. Ce diplôme confère désormais le grade de licence (bac + 3). La formation est accessible sur concours aux candidats âgés de 17 ans minimum et titulaires du bac (de préférence un bac général ou ST2S).À noter : les auxiliaires de puériculture et les aides-soignants justifiant d'une expérience professionnelle d'au moins 3 ans bénéficient d'une dispense de certaines unités d'enseignement sous réserve d'avoir réussi un examen d'admission. De même, les titulaires d'un diplôme d'État de masseur-kinésithérapeute, d'ergothérapeute, de pédicure-podologue, de manipulateur en électroradiologie médicale, ainsi que les étudiants en médecine admis en 2e année du 2e cycle des études médicales et les étudiants sages-femmes (1re année validée) bénéficient d'une dispense de la 1re année d'études d'infirmer sous réserve d'avoir passé avec succès une épreuve écrite.À bac + 4/5. Au cours de sa carrière, l'infirmier pourra se spécialiser et obtenir, en 2 ans, le diplôme d'État d'infirmier de bloc opératoire (DEIB, bientôt reconnu – en 2018 - au niveau bac + 5), d'infirmier anesthésiste (DEIA) ou de puéricultrice (en un an, reconnu à bac +4). Où exerce-t-il?L'infirmier, lorsqu'il est rattaché à la fonction publique, travaille dans les hôpitaux publics, les services scolaires ou encore la médecine du travail. Il peut également exercer en tant que salarié dans les cliniques privées, les entreprises ou encore pour des associations humanitaires, en France ou à l'étranger.Les infirmiers libéraux se constituent une clientèle sans trop de difficulté. En revanche, il faut avoir cumulé 3 années d'exercice salarié avant de pouvoir s'installer à son compte. Les horaires sont souvent lourds et irréguliers : soirs et week-ends ne sont pas épargnés !On dénombre près de 83 000 infirmiers en exercice en Île-de-France dont 78 % en secteur hospitalier.Voir la fiche détaillée Directeur(trice) d'établissement sanitaire et social Le responsable d'un établissement sanitaire et social coordonne et gère les activités de l'établissement dont il a la charge.Le directeur est chargé de la conduite générale de l'établissement dans les domaines sanitaire, social et médico-social, de l'animation et de la coordination des actions. Il décide ainsi des moyens à mettre en œuvre, de la coordination de ses équipes dans le respect des décisions du conseil d'administration de son établissement. Il doit constamment veiller au développement de la qualité des prestations au bénéfice des usagers, et communiquer sur les actions de son établissement. Il veille aussi à la bonne marche de l'établissement et en assure sa gestion administrative et financière.Prévoir, anticiper, faire face à des imprévus tant au niveau des finances que des équipes, le responsable d'un établissement sanitaire et social doit savoir gérer au mieux le quotidien de sa structure. La diversité et la complexité des missions dont il a la charge demandent que le responsable d'un établissement sanitaire et social soit rigoureux, méthodique et sache coordonner les différentes actions.Sa formation: bac + 3 à bac + 5Les fonctions de directeur d'établissement sanitaire, social et médico-social (DESSMS) sont accessibles par concours. Il faut justifier de l'un des diplômes exigés pour l'admission au concours externe d'entrée à l'École nationale d'administration (ENA), c'est-à-dire avoir validé un cursus équivalent à 3 années dans l'enseignement supérieur : licence économique (bac + 3), diplôme d'IEP, de pharmacie, de médecine, école d'ingénieurs, etc. Certains masters également sont bien adaptés, tel le master pro management des organisations sanitaires et sociales (Paris 13).À noter : l'École des hautes études en santé publique (EHESP), entre autres, propose des préparations à ce concours, qui est constitué d'épreuves écrites et orales.Les candidats admis au concours sont nommés stagiaires et suivent un cycle de formation théorique et pratique, qui se déroule sur une période de 24 à 30 mois. La formation est assurée par 8 centres de formation à travers la France. Les élèves directeurs qui ont satisfait aux épreuves de validation de fin de formation sont de plein droit titulaires du CAFDES, Certificat d'aptitude aux fonctions de directeur d'établissement ou de service d'intervention sociale.Ils choisissent une affectation en fonction de leur classement.Où exerce-t-il?La fonction publique hospitalière est le principal recruteur des responsables d'établissement sanitaire et social. Cadre de direction de la fonction publique hospitalière, il est rémunéré par l'établissement ou la collectivité de rattachement. Il peut s'agir de foyers de l'enfance, de maisons d'enfants à caractère social, de centres d'hébergements et de réinsertion sociale, d'instituts médico-éducatifs, d'établissements et services d'aide par le travail, de maison d'accueil spécialisées, d'établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes, etc.En 2016, 60 places ont été offertes au concours externe de directeur d'établissement sanitaire, social et médico-social. Lors de la première affectation, c'est l'ordre du classement au concours qui détermine l'ordre de choix de poste des candidats.Voir la fiche détaillée Les métiers du sport et des loisirs dans l'ESSEn France, l'organisation de la pratique sportive repose majoritairement sur le secteur associatif et les mouvements d'éducation populaire, largement développés dans le cadre de l'économie sociale et solidaire. On dénombre plus de 16 millions de licenciés (2,4 en Île-de-France). Les activités principales des entreprises de la branche restent la gestion et l'encadrement d'activités sportives et/ou la gestion d'équipements sportifs.La branche professionnelle compte quelques 30 000 entreprises et 100 000 salariés. Par ailleurs, de nombreux professionnels accompagnent les bénévoles et contribuent à la professionnalisation de la branche du sport.Animateur(trice) socioculturel(le) Le sport, les loisirs et la culture sont les terrains de prédilection de l'animateur socioculturel. Il intervient toujours au niveau d'un groupe de personnes, l'encadre et organise des activités collectives. S'il est animateur de quartier, il peut participer à des actions d'alphabétisation et à des campagnes d'information.L'animateur socioculturel s'adresse non seulement aux enfants et aux adolescents mais également aux personnes âgées. Il organise aussi bien des activités sportives que des visites culturelles, des débats d'actualité que des séances de ciné-club ou des expositions. Il met en place des ateliers de théâtre, de poterie, de dessin, etc.Pas de place pour la routine ! Les lieux dans lesquels l'animateur socioculturel travaille sont très variés. Il s'adresse à des publics multiples, de tous âges, de toutes conditions. Rassembler des individus ne suffit pas à donner vie à un groupe. Il doit apporter de l'énergie, faire naître des idées, susciter des envies. Imagination et créativité sont indispensables pour élaborer des projets originaux et attrayants.Sa formation: des diplômes dédiésDans l'animation, il existe d'une part des diplômes du ministère des Sports (BAFA, BAFD, BASE, BAPAAT, BEES, BPJEPS, DEJEPS), préparés dans des centres agréés par les directions régionales de la Jeunesse et des sports et d'autre part, les diplômes de l'Éducation nationale (bac pro, DEUST, DUT, licence pro) proposés par les lycées et universités.Les BAFA, BAFD, BASE sont des diplômes non-professionnels.Avant le bac. Dès 17 ans, il est possible d'obtenir le BAFA, brevet d'aptitude aux fonctions d'animateur. Il ouvre la voie au métier d'animateur socioculturel et permet de travailler pendant les vacances. À sa suite, le BAFD, brevet d'aptitude aux fonctions de directeur conduit au métier de directeur de centre de loisirs.Le BAPAAT, brevet d'aptitude professionnelle d'assistant animateur technicien de la jeunesse et des sports est accessible sans condition préalable mais une expérience professionnelle dans le secteur est nécessaire (avoir 16 ans minimum également). Il donne le niveau CAP et à son titulaire le droit d'encadrer, d'animer ou d'accompagner des activités physiques, sportives et socioculturelles.À bac. Le bac pro services de proximité et vie locale se prépare en 3 ans, après la 3e ou en 2 ans après un CAP, par exemple, les CAP agent de prévention et de médiation ou CAP accompagnant éducatif petite enfance.De niveau bac également, le BPJEPS, brevet professionnel de la jeunesse, de l'éducation et du sport est un autre moyen de se former à ce métier.À bac + 2. Le DEJEPS, diplôme d'État de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport, de niveau bac + 2, propose une spécialité « animation sociale ».Toujours à bac + 2, le DEUST animation et gestion des activités physiques, sportives ou culturelles (bac + 2) est proposé par l'université d'Évry et se prépare en 2 ans. Il existe également un DUT carrières sociales option animation sociale et socioculturelle qui s'obtient en 2 ans après un bac général ou ST2S.À bac + 3. Enfin, des licences pro préparent à des fonctions dans les domaines de la médiation, de l'accompagnement social, du développement social, économique ou culturel.Où exerce-t-il?Les plus gros recruteurs sont les collectivités territoriales et les municipalités. Elles proposent d'ailleurs les emplois les plus stables. Les structures d'accueil, destinées au 3e âge notamment, sont de plus en plus demandeuses d'animateurs socioculturels.Le secteur associatif propose également de très nombreux emplois dans des structures dynamiques. Mais, attention, les postes proposés sont souvent précaires.L'Île-de-France compte plus de 15 000 professionnels de l'animation. La région, à l'instar des grands pôles urbains français, manque de travailleurs sociaux dans un contexte de développement des loisirs et de vieillissement de la population.Voir la fiche détaillée Animateur(trice) de vacances L'animateur de vacances accueille les vacanciers dans des clubs ou des centres de vacances. Il propose aux adultes et aux enfants des activités de loisirs, culturelles, manuelles ou sportives. Il conçoit et organise toutes ces activités avec les autres animateurs de la structure où il travaille.Sans un dynamisme inusable, inutile de se lancer dans la profession. La bonne humeur de l'animateur de vacances rejaillira sur les vacanciers. Il faut donc avoir le goût des contacts, savoir s'adapter et prendre des initiatives.Sa formation: jusqu'à bac + 2/3De très nombreux diplômes, plus ou moins spécialisés, permettent de se tourner vers l'animation. Les activités peuvent être très diverses, tant dans le sport que l'animation socioculturelle, avec par exemple les loisirs de pleine nature, les arts plastiques, les activités scientifiques, la musique, sans compter que les publics sont variés : jeunes enfants, adolescents, adultes, personnes âgées.Ces diplômes sont délivrés par le ministère des Sports ou par le ministère de l'Éducation nationale. Les diplômes délivrés par le ministère des Sports sont multiples.Avant le bac. Le BAFA, diplôme non-professionnel, est indispensable pour animer des colonies de vacances. C'est le premier niveau de diplôme accessible dès 17 ans, sans condition de formation.Le BAFD, diplôme non-professionnel, autorise à diriger un centre de vacances pour jeunes. Il faut avoir 21 ans minimum et être titulaire du BAFA pour accéder à cette formation.Le BASE, diplôme non-professionnel, sanctionne les compétences acquises dans la pratique d'activités socio-éducatives. Pour accéder à ce diplôme, il faut avoir minimum 18 ans et avoir exercé pendant 2 ans au moins et de façon continue des activités dans le domaine Jeunesse ou de l'Éducation populaire.Le BAPAAT se prépare en 2 ans. C'est un diplôme professionnel qui donne le niveau CAP. Il se prépare à partir de l'âge de 16 ans mais accueille en fait des candidats plus âgés. Il n'y a pas de condition préalable de diplôme, mais un bon niveau de pratique personnelle est nécessaire. Il permet d'animer et d'encadrer des animations sportives et comprend plusieurs options.À bac. Le BPJEPS spécialité loisirs tous publics permet de proposer des activités culturelles, éducatives et sportives. Il peut se préparer par la voie scolaire, par apprentissage ou en formation continue.À bac + 2. Le DEFA donne accès aux fonctions de responsable d'un projet d'animation, d'un secteur, ou permet d'encadrer des formations. Il faut justifier de 3 années d'activités professionnelles à temps complet ou être titulaire du brevet d'aptitude à l'animation socio-éducation (BASE).Le DEJEPS, diplôme d'État de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport, est accessible avec un niveau bac ou deux ans d'activité dans le secteur de l'animation socioculturelle. Il permet d'exercer des fonctions d'animateur coordonnateur.De son côté, le ministère de l'Éducation nationale propose le DUT carrières sociales option animation sociale et socioculturelle. Ce dernier se prépare en 2 ans à l'université (en IUT) après un bac. Une poursuite d'études vers une licence professionnelle est envisageable.Il est aussi possible de préparer (sans aucun diplôme) un CQP Animateur de loisir sportif (CQP ALS). C’est un certificat, créé par la branche professionnelle du sport, pour des animateurs sportifs exerçant contre rémunération de façon occasionnelle ou saisonnière, ou souhaitant obtenir une première qualification. Il permet d’encadrer, à titre professionnel, l’une des familles d’activités suivantes, en fonction des options choisies : activités gymniques d’entretien et d’expression (renforcement musculaire, techniques cardio, expression corporelle, étirement, etc.), randonnée de proximité et d'orientation, jeux sportifs et jeux d’opposition (art et éducation via les jeux d’opposition, jeux de raquettes, jeux de ballons).Où exerce-t-il?Les villages ou clubs de vacances constituent le premier vivier d'emplois pour les animateurs de vacances. Les missions durent de 3 à 8 mois.Les campings recrutent de plus en plus d'animateurs, notamment les campings équipés de piscines et de boîtes de nuits.Les centres de vacances et de loisirs pour enfants assurent l'encadrement de jeunes de 3 à 18 ans, et notamment durant les périodes scolaires. De nombreux étudiants y sont embauchés.Voir la fiche détaillée Éducateur(trice) sportif(ve) L'éducateur sportif anime des activités sportives pour différents publics, enfants ou adultes, débutants ou confirmés, dans une discipline sportive précise : escrime, football, tennis, roller, tir à l'arc, etc. Il encadre un groupe et accompagne chacun des pratiquants dans sa progression.Moniteur de voile, professeur de judo, maître nageur sauveteur, l'éducateur sportif organise l'activité sportive du groupe dont il est responsable et permet à chacun de progresser à son rythme. Pour assurer la sécurité de tous, il met au point des exercices adaptés au niveau du groupe, analyse et corrige les gestes. Par ailleurs, il doit s'assurer avant chaque cours de la qualité du matériel utilisé. Au-delà, il doit parfois remplir des tâches d'organisation, par exemple mettre au point le planning des équipements ou réserver des hébergements.Une bonne condition physique constitue un impératif pour exercer le métier d'éducateur sportif. Il ne s'agit pas seulement d'encadrer et d'animer, il faut aussi être capable de transmettre un savoir et des techniques.Sa formation: de bac à bac +2À bac. Le BEES (brevet d'État d'éducateur sportif) 1er degré, qui correspond à un niveau bac, a longtemps constitué le niveau minimum pour être autorisé à exercer le métier d'éducateur sportif dans une soixantaine de disciplines, de la natation au football en passant par l'escrime et les métiers de la forme. Le BPJEPS (brevet professionnel de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport, également niveau bac), créé en 2001, a remplacé progressivement le BEES 1er degré. À ce jour, 34 spécialités de BPJEPS sont validées dont certaines sont déclinées en mentions par discipline. La durée minimum de la formation en centre est de 600 heures.À bac + 2. Le DEJEPS, diplôme d'État de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport, est accessible avec un niveau bac ou deux ans d'activité dans le secteur de l'animation socioculturelle ou sportive. La spécialité « perfectionnement sportif » propose plus de 80 mentions. Ce diplôme permet d'exercer des fonctions d'animateur coordonnateur.Où exerce-t-il?Les associations sportives, les clubs sportifs et les municipalités constituent des recruteurs traditionnels pour les jeunes éducateurs sportifs.Les centres de loisirs, l'UCPA (Union nationale des centres sportifs de plein air), les clubs de vacances ou encore les salles de sport et les centres de remise en forme, recherchent également des éducateurs sportifs.Selon l'IRDS, Institut régional du développement du sport, 13 700 moniteurs éducateurs sportifs exercent en Île-de-France. Il s'agit majoritairement d'hommes (70 %) exerçant souvent en CDD ou à temps partiel.Voir la fiche détaillée Entraîneur(euse) sportif(ve) L'entraîneur sportif encadre une équipe ou un athlète afin de lui permettre d'atteindre le meilleur niveau sportif dans sa discipline : football, saut à la perche, volley-ball, course à pieds, judo, etc. Il a pour mission de les entraîner et de les motiver pour arriver au top le jour de la compétition.L'entraîneur sportif conçoit un programme d'entraînement pour son équipe ou son athlète : échauffement, assouplissements, exercices adaptés à chacun, tactiques de jeux à mettre en place, etc. Chaque jour, il corrige les défaillances physiques, les fautes techniques et aide à gérer la fatigue mentale pour gagner en performance. Il tient compte du planning des championnats pour adapter la dose de travail aux échéances sportives.L'entraîneur sportif sait faire preuve de diplomatie et de tact pour annoncer à un athlète qu'il n'est pas prêt pour une compétition. Il sait aussi motiver ses troupes pour qu'elles donnent le meilleur d'elles-mêmes.Les compétitions ont souvent lieu en soirée ou le week-end. Il doit être disponible pour motiver, supporter et accompagner ses athlètes.Sa formation: plusieurs diplômes à partir du bac + 2Plusieurs diplômes conduisent au métier d'entraîneur sportif :À bac + 2/3. Le DEJEPS, diplôme d'État de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport, spécialité perfectionnement sportif se décline en 85 disciplines sportives.À l'université, la licence STAPS (sciences et techniques des activités physiques et sportives) parcours entraînement sportif donne un niveau bac + 3.À bac + 4/5. Le DESJEPS, Diplôme d'État supérieur de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport, est une diplôme de niveau II (bac + 4) donnant accès à des postes d'entraîneur de haut niveau dans une discipline sportive ou de directeur sportif, par exemple. La spécialité « performance sportive » comporte 80 mentions. L'entrée en DESJEPS n'est pas soumise à des exigences scolaires. En revanche elle est conditionnée par la réussite à des tests de sélection organisés par chaque organisme de formation. Pour pouvoir se présenter aux épreuves de sélection, les candidats doivent parfois satisfaire à des exigences préalables fixées par l'arrêté spécifique à chaque mention.À l'université, la licence STAPS peut être prolongée par un master (niveau bac + 5) qui permet de se spécialiser.À noter : les sportifs de haut niveau bénéficient de conditions spécifiques d'accès à ces formations.Le football fait figure d'exceptionLe football dispose de son propre diplôme, le DES (diplôme d’entraîneur supérieur), un diplôme de niveau bac + 3) que l’on obtient après un BEF (brevet entraîneur de foot), diplôme de niveau bac + 2. Les diplômes ont été rénovés récemment et ils comportent 5 niveaux de qualification. Toutes les explications se trouvent sur le site de l’Union nationale des entraîneurs et cadres techniques professionnels du football, l’UNECATEF.Par ailleurs, l'Institut national du sport, de l'expertise et de la performance (INSEP) propose un diplôme de l'Insep, option entraînement des sportifs de haut niveau et un diplôme de préparateur physique (bac + 5).Où exerce-t-il?Les entraîneurs sportifs exercent leurs fonctions dans des clubs de sport ou les ligues régionales. Ils entraînent des adultes, mais aussi des enfants.Les fédérations sportives nationales recrutent des entraîneurs sportifs pour les athlètes de très haut niveau, comme ceux qui participent aux jeux olympiques ou aux tournois sportifs mondiaux.La région Île-de-France regroupe environ 10 000 clubs de sports (source : IRDS), dont beaucoup sont de véritables usines à champions : Levallois Sporting club, PSG, Racing club de France, Paris country club, etc. De nombreuses ligues et fédérations sportives sont également basées dans la région. L'Île-de-France est donc un territoire de prédilection pour les entraîneurs sportifs.Voir la fiche détaillée Directeur(trice) d'équipements sportifs Le directeur d'équipements sportifs est responsable du matériel et du budget alloués à l'ensemble des équipements sportifs d'une ville, qu'il s'agisse de stades, de piscines, de terrains de football ou de tennis. C'est lui qui décide des projets de rénovation ou d'entretien à mettre en place. Il a également en charge la gestion du personnel communal de ces structures.Les utilisateurs d'équipements sportifs sont nombreux : écoles, collèges, lycées, associations, clubs... Ils contactent l'assistant chargé de l'exploitation des plannings et de leur mise à jour pour réserver un stade à un horaire précis ou pour organiser des tournois. Le directeur d'équipements sportifs établit les plannings selon la politique sportive de la ville. Les utilisateurs peuvent lui faire part de dysfonctionnement, d'absence de matériel, de proposition de rénovation, etc. Régulièrement, le responsable rend compte au conseiller municipal chargé des sports des problèmes rencontrés sur les équipements et lui communique la liste des manifestations programmées. Il veille enfin quotidiennement au bon respect de la réglementation en vigueur et de l'entretien des installations par ses équipes techniques.Si des usagers d'équipements sportifs sont mécontents, c'est d'abord vers lui qu'ils se tournent. Il doit se montrer courtois mais ferme, quand la situation le nécessite. Contrôler l'état des équipements sportifs signifie entre autres veiller à la sécurité des personnes, enfants et adultes, qui viennent jouer ou s'entraîner. Autant dire que le travail doit être fait avec le plus grand sérieux.Sa formation: bac + 3 minimumÀ bac + 3. L'université Paris Nanterre propose, par exemple, une licence pro spécialité gestion et développement des organisations, des services sportifs et de loisirs.Une licence STAPS (sciences et techniques des activités physiques et sportives) constitue également un bon passeport pour entrer dans la profession à un niveau avancé de responsabilités.À bac + 5, les masters professionnels donnent accès à des responsabilités de direction. On peut citer le master pro spécialité politiques publiques et stratégies des organisations sportives (université Paris-Sud) ou spécialité management des événements et des loisirs sportifs (université Paris-Sud, université Paris Nanterre).Où exerce-t-il?Les collectivités, comme les mairies ou les associations sportives ont besoin de directeurs d'équipements sportifs pour gérer et administrer leurs activités. Les postes des collectivités locales sont pourvus par des candidats reçus aux concours de la fonction publique territoriale comme le concours du conseiller territorial des APS (niveau bac + 3 comme une licence). Le directeur d'équipements sportifs peut aussi travailler pour des clubs sportifs qui s'apparentent souvent à de véritables entreprises.Deuxième région de France en nombre d'équipements disponibles (mais dernière en nombre d'équipements par habitants), l'Île-de-France regroupe 28 000 structures dédiées à la pratique du sport : piscines, stades, courts de tennis, etc. Selon l'IRDS, Institut régional de développement du sport, la gestion des équipements sportifs représente 6 200 emplois en Île-de-France.Voir la fiche détaillée Les métiers des activités financières et des assurances dans l'ESSLes banques coopératives, la finance solidaire et les mutuelles sont des acteurs historiques de l'économie sociale et solidaire. Dans le secteur bancaire, les entreprises de l'ESS représentent la moitié du marché français des solutions d'épargne et de crédit. On peut citer la Banque populaire Caisses d'épargne (BPCE), le Crédit mutuel, le Crédit coopératif ou le Crédit agricole, par exemple. Dans ces banques, il n'y a pas d'actionnaires : ce sont les clients qui sont sociétaires et qui en sont les propriétaires.Depuis quelques années, les mutuelles de santé connaissent un fort mouvement de regroupement, qui conduit à une diminution du nombre de petites mutuelles, à un accroissement des plus grosses et à une croissance faible de l'emploi. Les 147 000 emplois se répartissent en trois tiers : l'assurance des biens, l'assurance des personnes, le regroupement des secteurs de la santé, du social et du commerce.Téléconseiller(ère) Le téléconseiller vend par téléphone toutes sortes de produits de consommation : placements financiers, assurances, etc. Il informe ou conseille ses interlocuteurs, puis saisit leurs commandes sur ordinateur.Le téléconseiller récolte et lit un maximum d'informations sur le produit qu'il doit vendre ou les conseils qu'il donnera en matière de produit financier, par exemple.Puis il appelle les personnes figurant sur la liste communiquée par son supérieur, le superviseur. Il suit un argumentaire très précis sur son écran d'ordinateur et laisse la parole à son interlocuteur. Il coche ou rédige les réponses tout en téléphonant. Lorsqu'il est débutant, il met à jour des bases de données ou réalise des enquêtes de consommation simplifiées.Même s'il est au téléphone, le téléconseiller doit toujours être souriant, aimable et dynamique. Il faut savoir garder son calme face à des interlocuteurs peu aimables.Sa formation: bon en vente !À bac/bac + 1. Même si aucun diplôme n'est exigé pour exercer la profession de téléconseiller, un niveau bac (bac pro vente (prospection-négociation-suivi de clientèle) ; bac pro commerce) est conseillé. Il est indispensable de maîtriser l'outil informatique.Dans les banques ou les mutuelles, les recruteurs demandent généralement un diplôme de niveau bac + 2. Néanmoins, après le bac, il est possible de préparer, en un an, la MC services financiers (niveau bac + 1) qui permet de se spécialiser dans la commercialisation des produits proposés par la banque. Par ailleurs, il existe une MC assistance, conseil, vente à distance, plus généraliste (niveau bac + 1 également).Où exerce-t-il?De nombreuses entreprises, dont ceux du secteur de la banque et de l'assurance, font appel à des centres d'appel téléphoniques pour vendre leurs produits ou réaliser des enquêtes sur les ménages notamment.Le développement du e-commerce et des services en ligne ouvre de nouvelles perspectives avec des emplois de téléconseillers assurant un service de conseil et d'assistance à distance.Voir la fiche détaillée Conseiller(ère) d'accueil banque Dans une banque, le conseiller d'accueil est la première personne à laquelle les clients ont affaire. Il est leur contact direct. Assis derrière son guichet, il effectue les opérations bancaires les plus courantes : versements d'argent en espèces ou en chèques, virements ou retraits de chéquiers, etc. Le conseiller d'accueil vend aussi des produits et des services, comme les solutions d'épargne. Il répond aux appels téléphoniques des clients, qu'il dirige vers ses collègues.Le conseiller d'accueil traite des opérations et des demandes très diverses. Ses interlocuteurs sont nombreux et variés. Il doit donc faire preuve d'une grande polyvalence.Sa formation: de bac à bac + 5À bac/bac + 1. Après un bac pro commerce ou un bac pro gestion-administration, il est possible de préparer, en 1 an, une MC services financiers (niveau bac +1). Ce diplôme permet de se spécialiser dans l'accueil et la commercialisation de services financiers.À bac + 2. Mais la majorité des recrutements s'effectuent directement à bac + 2. Les BTS banque-conseiller de clientèle (particuliers) ; management des unités commerciales ; négociation et relation client, et le DUT techniques de commercialisation forment, en 2 ans après le bac, au métier de conseiller.À bac + 3. Ces cursus peuvent être complétés par une licence pro comme la licence pro assurance, banque, finance : chargé de clientèle (Paris Est Créteil Val-de-Marne).À bac + 5. Pour un portefeuille de grandes entreprises, il est conseillé de viser un bac + 5, par exemple un master pro spécialité gestion de patrimoine et banque privée (Paris Dauphine) ; parcours gestion des actifs (Paris Nanterre), etc.Le secteur bancaire recrute des jeunes diplômés pour préparer les départs en retraite, qui seront nombreux dans les années à venir. Selon l'Observatoire des métiers de la banque, près de 11 184 conseillers d'accueil sont en poste en France. Environ 18 % des agences (4 900 guichets) se trouvent en Île-de-France.Voir la fiche détaillée Gestionnaire de contrats d'assurances Le gestionnaire de contrats établit et gère des contrats d'assurances, de leur ouverture jusqu'aux éventuels règlements de litiges. À partir du contenu des contrats, il décide des indemnisations à apporter à l'assuré ou aux victimes, en cas de dommages.Le gestionnaire de contrats établit des contrats d'assurances, notamment dans les secteurs de l'habitation, de l'automobile ou de la santé. La plupart du temps, les contrats sont déjà rédigés, mais il peut y ajouter des clauses spécifiques. Lorsqu'un assuré a un problème, qu'il s'agisse d'un accident, d'un vol ou d'un incendie, il vérifie les garanties du contrat, détermine les responsabilités et évalue le montant des dommages. Il verse ensuite les indemnisations.Il est rigoureux : le gestionnaire de contrats respecte à la lettre les règlements, les clauses ou les tarifs définis par les actuaires. Le coût des dommages et le montant des indemnisations doivent être évalués de manière exacte.Sa formation: bac + 2 minimumÀ bac + 2. Les gestionnaires de contrats sont recrutés à partir du niveau bac + 2 parmi les diplômés de BTS assurance, DUT carrières juridiques mais aussi des filières commerciales comme le BTS management des unités commerciales, le BTS négociation et relation client ou le DUT techniques de commercialisation. Pour ces profils commerciaux, une formation spécialisée est dispensée par les assurances, une fois embauchés.À bac + 3. Les titulaires d'une licence pro (bac + 3) dans le secteur de l'assurance sont aussi appréciés par les professionnels. On peut citer la licence pro assurance, banque, finance : chargé de clientèle, parcours conseiller de clientèle sur le marché des particuliers (Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines), droit spécialité gestion juridique des contrats d'assurance (Panthéon Assas).L'IFPASS, institut de formation de la profession de l'assurance, délivre un titre de conseiller en assurance et épargne (bac + 2) dans le cadre d'une formation en alternance. La formation dure un an après un bac + 2.Plus les dossiers à gérer sont complexes, plus le niveau de diplôme requis est élevé.À bac + 5. Plusieurs masters pro spécialisés dans le domaine de l'assurance, sont très appréciés des recruteurs, notamment pour la gestion de contrats aux clauses très spécifiques. Exemple : le master pro gestion, économie, mention monnaie, banque, finance, assurance spécialité risque, assurance, décision, (Paris Nanterre). Il est aussi possible de préparer un magistère banque finance assurance (Paris Dauphine).Enfin, les diplômés de niveau bac + 5 peuvent préparer un mastère finance à l'ESSEC.Où exerce-t-il?Petites ou grandes, les sociétés d'assurances recrutent de jeunes gestionnaires de contrats. Les gestionnaires de contrats débutants peuvent également se tourner vers les mutuelles.Voir la fiche détaillée Chargé(e) d'études techniques dans les assurances Le chargé d'études techniques dans les assurances étudie les attentes de la clientèle et analyse les produits que proposent les sociétés concurrentes. En évaluant les risques, il conçoit de nouvelles solutions d'assurance ou adapte les contrats existants aux conditions du marché.Le chargé d'études techniques analyse les informations liées aux risques et à leur évolution, ainsi que les législations en vigueur. Les besoins de la clientèle et les offres de la concurrence sont examinés avec le plus grand soin, tant en termes de tarifs que de garanties offertes. En liaison avec le service marketing, il définit un produit adapté, comme une assurance vie, une assurance automobile ou une assurance habitation.Aucune information ne doit échapper à l'analyse du chargé d'études. Il travaille avec ordre et rigueur.Sa formation: bac + 5Les formations adaptées à ce métier sont nombreuses et diverses. Il n'existe pas de parcours type, mais les diplômes de niveau bac + 5 sont particulièrement appréciés.L'université propose notamment des magistères et de nombreux masters (professionnels ou recherche) dans le domaine de la finance et des assurances. On peut citer les masters pro suivants : ISIFAR (ingénierie statistique et informatique de la finance, de l'assurance et du risque, université Paris-Diderot) ; finance, parcours assurance et gestion du risque (Paris-Dauphine) ; monnaie, banque, finance, assurance, spécialité banque, finance, gestion des risques (université Paris 13) ; langues étrangères appliquées au management international des assurances (uniquement dispensé en alternance, Paris 13 Nord), etc.Les compagnies d'assurances recrutent également des diplômés d'écoles de commerce et d'ingénieurs.Où exerce-t-il?Les compagnies d'assurances constituent le premier vivier d'emplois pour les jeunes diplômés. Les débutants se tournent aussi vers les organismes de retraite, les mutuelles ou encore les filiales des groupes bancaires spécialisés dans l'assurance.Le secteur des assurances vie se développe plus rapidement que le secteur incendie, accidents et risques divers. Les postes à pourvoir y sont donc plus nombreux.Voir la fiche détaillée ActuairePrévoir l'imprévisible, telle est la mission principale de l'actuaire. Dans une société d'assurances, c'est lui qui établit le montant des cotisations pour chaque contrat d'assurance. C’est un des métiers clé de l’assurance. Lorsqu’il travaille à la direction d’une entreprise, par exemple il met son entreprise en conformité avec les nouvelles règles de Solvabilité II. Lorsqu’ils travaillent à la conception des produits il calcule le tarif des produits créés par les entreprises.Pour définir le montant d'une cotisation que doit payer un client, l'actuaire analyse des données statistiques et effectue des calculs de probabilités. À partir de ces éléments, il établit le montant des primes et estime les réserves d'argent dont la société d'assurances a besoin pour faire face aux engagements financiers pris vis-à-vis des assurés.Pour croiser des données très diverses et donner un sens aux chiffres, l'actuaire sait prendre du recul, avoir une vision globale du marché. Il a l'esprit de synthèse. Recueillir une masse importante d'informations implique un bon sens de l'organisation.Sa formation: un bac + 5Si le DUT statistique et informatique décisionnelle (bac + 2) permet d'accéder à la fonction de technicien en actuariat, les formations menant aux fonctions d'actuaire se situent à bac + 5.Il est possible de débuter ses études par une licence en mathématiques appliquées ou en sciences économiques et de gestion (bac + 3).À bac + 5 suivent plusieurs masters professionnels en actuariat : le master pro mention mathématiques appliquées parcours actuariat (Paris-Dauphine) ou contrôle de gestion et audit organisationnel (université Paris-Est Créteil Val-de-Marne), le master droit, économie, gestion mention monnaie, banque, finance, assurance parcours management de l'assurance professionnels (CNAM), etc.Deux autres formations, particulièrement reconnues dans la filière, sont aussi envisageables : le diplôme de statisticien filière actuariat de l'Institut de statistique de l'université Pierre et Marie Curie (université Pierre et Marie Curie - UPMC) ou le diplôme d’ingénieur de l'ENSAE (École nationale de la statistique et de l'administration économique) qui offre une spécialité actuariat en 3e année de cycle ingénieur.À bac + 6. Après un bac + 5, un mastère spécialisé (bac + 6) permet de compléter les études d’actuariat, par exemple le mastère spécialisé en actuariat (ENSAE).Où exerce-t-il?Ce sont les sièges sociaux des sociétés d'assurances et des banques qui offrent le plus grand nombre d'emplois. Les caisses de retraite, les mutuelles et les sociétés de bourse recrutent également des jeunes diplômés.On dénombrait 6 721 fin 2016 en France, dont plus de 65 % exercent en Île-de-France, la Région accueillant un grand nombre de sièges sociaux de société d'assurances, de banques et de sociétés financières. Quelque 140 nouveaux actuaires sont formés chaque année, ce qui ne suffit pas à combler les besoins des recruteursVoir la fiche détaillée Mes ressources utiles UDES, Union des employeurs de l’économie sociale et solidaire7, rue Biscornet, 75012 Paris, tél. 01 43 41 71 72http://www.udes.fr/ Conseil national des Chambres régionales de l'économie sociale3, rue de Vincennes, 93100 Montreuil, tél. 01 49 88 52 53http://www.cncres.org/accueil_cncres CRESS IDF, Chambre régionale d’économie sociale et solidaire d'Île-de-FranceSiège administratif3, rue de Vincennes, 93100 Montreuil, tél. 01 49 88 52 78http://www.cressidf.org/ Métiers et secteurs ESS, portail officiel du ministère de l'Économie et des financesLa rubrique consacrée à l'ESS informe sur l'actualité du secteur, sur les rapports ministériels et donne quelques pistes de sites web sur le sujet.https://www.economie.gouv.fr/entreprises/structures-economie-sociale-et-solidaire-ess Le Labo ESSThink Tank destiné à faire connaître l'ESS, une économie plus respectueuse de l'homme et de son environnement à travers échanges, réflexions et actions.http://www.lelabo-ess.org/ Portail de l'emploi dans l'économie sociale et solidaireRéalisé par l'UDES, ce site a pour vocation de valoriser les métiers et formations de l'économie sociale et solidaire, et de mettre en relation chercheurs d’emploi et recruteurs. Des informations sur l'ESS, des fiches métiers téléchargeables, les secteurs qui recrutent, ainsi que des témoignages sont aussi disponibles.http://www.emploi-ess.fr/ Choix de formations - orientation Les métiers de la cohésion socialeUniformation propose 94 métiers de la cohésion socialehttps://www.uniformation.fr/entreprise/uniformation-lopco-de-la-cohesion-sociale/les-metiers-de-la-cohesion-sociale SUCCESS - Vos valeurs font carrièreCentre de ressources régional de l’économie sociale et solidaire, le site propose des informations sur l'économie sociale et solidaire pour les jeunes. Il met en avant le programme « SUCCESS ! » (ateliers et animations) proposé aux jeunes en recherche d'emploi ou d'orientation.http://www.solidaire-info.org/success-economie-sociale-et-solidaire-vos-valeurs-font-carri%C3%A8re-stages AviseCe site présente les définitions des principales thématiques de l'économie sociale et solidaire et leurs grands enjeux.https://www.avise.org/ Le Mois de l'ESS en Île-de-FranceCe site a été conçu pour relayer les manifestations régionales du Mois de l'ESS. Il propose un agenda ainsi qu'une carte permettant de localiser géographiquement tous les évènements.http://www.lemois-ess.org/accueil-decouverte/p2.html Emploi et recrutementEmplois d'avenir - UniformationCe site de l'OPCA Uniformation dédié aux Emplois d'Avenir dans l'économie sociale et solidaire a été créé avec le soutien du Ministère du travail, de l’emploi et du dialogue social ainsi qu’avec le soutien du Fonds Paritaire de Sécurisation des Parcours Professionnels. Très pratique, l'espace dédié aux jeunes leur offre un accompagnement aux Emplois d'Avenir dans l'ESS et leur propose de nombreuses fiches métiers et vidéos.http://www.emploisdavenir-uniformation.fr/ Études et statistiques Connaissance statistique des données comptables et financières des entreprises de l'ESS : état des lieux et premières analysesEn décembre 2023, l'Observatoire national d'ESS France a publié une étude sur les données comptables et financières des entreprises de l'ESS.https://www.ess-france.org/publication-d-une-etude-inedite-sur-les-donnees-comptables-et-financieres-des-entreprises-de-l-ess Étude sur les rémunérations individuelles Associations et FondationsDeloitte et Taste avec le soutien du Comité de la Charte, de France générosités et du Centre français des fonds et fondations, publient la première étude de rémunération spécifique au secteur des associations et fondations.http://www.francegenerosites.org/wp-content/uploads/2016/12/Etude-remuneration-2016-VF-formatwebimprimable.pdf Crédits photos© AleksandarGeorgiev © Suphaporn © dusaupetkovic © yurolaitsAlberts © Steve Debenport © sturti © monkeybusinessimages © sladic © mikanaka © Alvarez © stockvisual © MorsaImages © Portra © pic-a-boo © Milkos © ferrantraite © kali9 © Highwaysharz-Photography © Ridofranz © digitalskillet © Ben-Schonewille © CasaraGuru © skynesher © PeopleImages © tomazl © filadendron © Bojan89 © Deagreez © utah778 © whyframestudio
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