Accueil Tous les zooms Les métiers de la grande distribution Les métiers de la grande distribution Très dynamique, la grande distribution regroupe plus de 150 métiers qui s’exercent en magasin, dans des entrepôts ou des bureaux. Accessible à tous les niveaux de qualification, le secteur est un bon accélérateur de carrière. Imprimer cet article Partager sur Facebook (Nouvelle fenêtre) Secteur emblématique de notre société de consommation, la grande distribution innove de façon permanente pour répondre aux attentes des consommateurs et rester compétitive dans un contexte très concurrentiel. L’informatique et les nouvelles technologies de communication transforment les méthodes et l’organisation du travail. Les professionnels du secteur doivent sans cesse s’adapter aux nouvelles exigences de leurs employeurs et du marché.Panorama du secteurSoumis à un turn over important, en particulier sur les emplois les moins qualifiés souvent caractérisés par une forte pénibilité, le secteur recrute de façon constante. Voie d’accès au premier emploi pour de nombreux jeunes, il offre de belles perspectives de carrière aux collaborateurs les plus motivés. La grande distribution : généraliste ou spécialisée ?« La distribution généraliste regroupe la filière du commerce de détail vendant de l'alimentaire et du non-alimentaire dont la répartition moyenne en volume d'activité est respectivement de 2/3 et 1/3 » (source : définition de l’encyclopédie financière). Dans l'alimentaire, les six principaux groupes présents sur le marché sont tous d'origine française (Carrefour, Leclerc, Auchan, Casino, Intermarché et Système U) et détiennent près de 85 % de parts de marché.Les grandes surfaces spécialisées vendent un seul type de produit, comme des articles de sport, du matériel de bricolage, des chaussures, des jouets, de l’alimentation, des produits culturels (DVD, CD, livres...). On estime à 20 000 le nombre de ces points de vente spécialisés.Le secteur français de la grande distribution est l'un des plus compétitifs d'Europe. Selon la FCD, Fédération du commerce et de la distribution, il regroupe plus de 30 000 points de vente et emploie 750 000 personnes, pour un chiffre d'affaires annuel de 200 milliards d'euros. Quatre tailles de magasinsLes supérettes ont une surface comprise entre 150 et 400 m2 et un assortiment limité à 1 500 références.Les supermarchés ont une surface comprise entre 400 et 2 500 m2 et un assortiment de 3 000 à 5 000 références.Les hypermarchés ont une surface d’au moins 2 500 m2 et un assortiment de 25 000 à 40 000 références.Les maxi-discompteurs ont une surface inférieure à 2 500 m2 et un assortiment limité (moins de 1 300 références), principalement tourné vers les marques de distributeurs et les produits sans marque.Près de la moitié des salariés du secteur travaille en hypermarché. Le nombre d'hypermarchés en France ne cesse d'augmenter, en raison des agrandissements de supermarchés mais également d'ouvertures de nouveaux magasins. On dénombre actuellement 2 131 hypermarchés sur le territoire national.Seuls 10 % des effectifs de la grande distribution ont le statut de cadre. En 2017 en France, les prévisions d'embauche des cadres ont augmenté pour la grande distribution spécialisée (entre 8 200 et 9 260) tandis qu'elles connaissaient un léger recul dans les enseignes généralistes (entre 2 090 et 2 440) selon l’APEC (Association pour l’emploi des cadres). Phénomène inverse en Île-de-France où on comptait 41 % d’embauches de cadres dans la grande distribution généraliste en 2017 et à 31 % pour la grande distribution spécialisée toujours selon l’APEC. Un secteur très innovantEn incitant les ménages à réduire leur consommation, la crise économique n'a pas épargné la grande distribution. Le secteur a vu sa croissance ralentir, tandis que l'emploi s'est globalement maintenu.Dans un marché toujours plus concurrentiel, les stratèges du secteur doivent développer des trésors d'imagination pour rester compétitifs. L'agencement des magasins est régulièrement repensé, l'offre de services sans cesse étendue, toute nouvelle thématique chère au consommateur (développement durable, etc.) est immédiatement intégrée à la politique commerciale de l'enseigne… L'innovation est permanente !Parmi les mutations les plus récentes, on peut citer la généralisation des cybermarchés (toutes les grandes enseignes ont désormais leur magasin en ligne) ou encore le développement d'applications permettant de recevoir des promotions personnalisées en temps réel en passant à proximité d'un magasin. Les dernières innovations en date sont, d'une part, l'offre en « drive » (on en compte 3 700 en France), d'autre part le scanner mis à disposition des acheteurs pour gagner du temps avant de passer en caisse.Ces évolutions ont naturellement des conséquences sur l'emploi, avec la montée en puissance ou l'apparition de métiers tels planificateur ou category manager.La grande distribution bien implantée en Île-de-France En 2015, on dénombrait environ 2 000 grandes surfaces alimentaires en Île-de-France dont 1 800 supermarchés. Environ 48 % de l'emploi dans le commerce alimentaire se situent dans les hypermarchés, 38 % dans les supermarchés et 7 % dans les supérettes. Des emplois en magasin, mais pas uniquementSelon la FCD, la grande distribution emploie une main-d’œuvre plutôt jeune (37 % des salariés ont moins de 35 ans) et fortement féminisée (58 % des effectifs). Un emploi sur 3 est à temps partiel.Job Salon Distribution ParisDepuis sa création en 2000, Job Salon Distribution est le seul salon de recrutement en France entièrement dédié à l'emploi dans les métiers de la distribution.Deux fois par an, il réunit, d’une part, des candidats désireux de s’investir dans la distribution, de formation bac +2 à bac +4/5, qu’ils soient professionnels ou jeunes diplômés, et d’autre part, les équipes recrutement des enseignes de la grande distribution et de la distribution spécialisée (bricolage, textile, alimentaire, parfumerie, sports et loisirs...). Le dernier salon a eu lieu en novembre 2017. Ce salon se transporte aussi en province, à Lyon et Marseille. Pour connaître les prochaines dates, rendez-vous sur http://www.jobrencontres.fr/plus de 150 métiersHôtes de caisse, manager de rayon, directeur de supermarché, employé commercial, préparateur de commande, responsable merchandising, chargé de recrutement… constituent la moitié des emplois proposés. Plus globalement, ouvriers, employés et personnels de livraison représentent 90 % des emplois.Vendeurs à gogoGrande distribution et distribution spécialisée emploient de très nombreux vendeurs spécialistes de l’équipement de la maison, de l’électroménager, des jouets ou encore des articles de sport. Ces vendeurs ne se chargent pas seulement d’informer les clients : ils exécutent également toutes les tâches liées à la vente en magasin (approvisionnement des rayons, étiquetage, mise en valeur de la marchandise, etc.).Après quelques années d’expérience, les plus motivés deviendront managers de rayon.Du CAP au BAC + 5Le diplôme le plus recherché par les enseignes est le CAP. Mais le secteur recrute des profils variés, de la personne sans qualification (qui sera intégralement formée en interne par les enseignes elles-mêmes) jusqu'au diplômé bac + 5. Les profils commerciaux sont évidemment les plus nombreux (un bac+2, BTS ou DUT, devient la norme). Les CAP sont appréciés pour les postes de vendeurs, notamment pour le rayon frais (boucherie, boulangerie, poissonnerie) ; les BTS et DUT permettent traditionnellement d'accéder aux fonctions de manager de rayon ; les masters et diplômes d'écoles de commerce sont requis pour les postes d'encadrement et les fonctions transversales (marketing, achats, logistiques, etc.).Chaque année, la grande distribution propose plus de 20 000 recrutements en alternance (contrat d'apprentissage ou contrat de professionnalisation). Conditions de travail, salariés et perspectives d'évolutionQuelque 8 % des salariés de la grande distribution travaillent de nuit ou le dimanche de façon régulière.En revanche, le secteur propose des niveaux de rémunération assez bas comparés à d’autres branches du commerce.Fidèle à sa réputation, la grande distribution continue d'offrir de vraies opportunités de carrière par le biais de la promotion interne. Un vendeur déterminé peut, par exemple, devenir manager de rayon, puis chef de secteur… à condition d'être résistant au stress, mobile géographiquement et prêt à travailler sans compter ses heures ! Par exemple, la durée moyenne d’un manager au même poste se situe, quasiment toutes enseignes confondues, entre 3 et 5 ans.Les cadres ont également la possibilité d'embrasser des carrières internationales, par exemple autour d'un projet d'ouverture d'un nouveau point de vente à l'étranger. Mais seuls les meilleurs candidats sont retenus ! Les métiers de l’alimentaireViande, poisson, pain, fromage… Les produits frais sont hautement stratégiques pour la grande distribution qui s’efforce, jour après jour, de prendre des parts de marché aux artisans indépendants. Pour séduire les consommateurs, les enseignes recrutent du personnel qualifié (CAP au minimum) et mettent l’accent sur la qualité et le conseil. Les métiers de bouche ont de l’avenir dans la grande distribution ! Boulanger(ère)èreBaguettes et croissants, flûtes et brioches, couronnes et chaussons... Le boulanger fabrique et conditionne une large gamme de produits, qu’il dispose ensuite dans les rayons. Si sa formation le lui permet, il prépare également des pâtisseries. Enfin, il peut être amené à préparer des plats de traiteur, telles quiches, tartes salées et salades.Sa formation: du CAP au bac proLe CAP boulanger forme au métier de boulanger et à ses spécialités. Vous pouvez l'obtenir en 2 ans après la classe de 3e, en CFA ou en lycée professionnel.La MC boulangerie spécialisée vous permet de vous spécialiser en un an après le CAP. Elle vous forme à la fabrication de viennoiseries et de différentes sortes de pains.La MC pâtisserie boulangère est destinée aux titulaires du CAP boulanger comme aux titulaires du CAP pâtissier. Elle vous prépare à la conception et à la réalisation de produits de pâtisserie boulangère sucrée et salée dont la matière première principale est la farine.Aucune MC n'est proposée en Île-de-France.Il est possible également de préparer un bac pro boulanger pâtissier en 3 ans après la 3e ou en 2 ans après le CAP.De même niveau que le bac, le BP boulanger, qui se prépare en apprentissage après le CAP, vous permet d'augmenter vos responsabilités et aussi de vous installer à votre compte.Ses perspectives d'emploisLa grande distribution détient 32 % du marché du pain en France, 80% du marché de la viennoiserie et 40 % du marché de la pâtisserie. Ce secteur de la BVP emploie environ 40 000 personnes et recrute aussi bien des ouvriers-boulangers, des chefs d'équipe que des chefs de fabrication. Selon l’enquête BMO (Besoin de main-d’œuvre) 2017, il y a eu en 2017 6 185 projets de recrutements en France de boulangers-pâtissiers (dont plus de 53 % de recrutements jugés difficiles) et, pour la région Île-de-France 916 projets de recrutements (dont plus de 43 % jugés difficiles) toujours pour cette même année 2017.Voir la fiche détaillée Boucher(ère)Le boucher découpe, prépare et conditionne toutes sortes de produits carnés, puis les dispose en rayon, dans les espaces libre-service ou ceux dédiés à la coupe. Il partage son temps entre le « laboratoire », où il travaille la viande, et le magasin, où il est au contact de la clientèle. Ses conseils sont toujours les bienvenus ! Sa formation: du CAP au bac proLe métier de boucher est accessible après la classe de 3e, notamment en alternance, via le CAP boucher.Vous pouvez également préparer, en 3 ans après la 3e ou en 2 ans après le CAP, un bac pro boucher charcutier traiteur. Cette formation n'est pas proposée en Île-de-France.À l'issue du bac pro, la MC employé traiteur vous permet de vous spécialiser en un an.Enfin, le BP boucher, de même niveau que le bac pro, peut se préparer en apprentissage ou en cours d'emploi, toujours après un CAP.Ses perspectives d'emploi: un métier toujours sous tensionLes grandes et moyennes surfaces détiennent les 3/4 du marché de la viande en France. Les bouchers représentent 3 % de l’emploi total de la grande distribution, soit environ 19 000 salariés.Les entreprises de la grande distribution recherchent en permanence des bouchers, des chefs d'équipe et des chefs de fabrication. Selon l’enquête BMO (Besoin de main-d’œuvre) 2017, il y a eu en 2017 3 939 projets de recrutements en France de bouchers (dont plus de 65 % de recrutements jugés difficiles) et, pour la région Île-de-France 185 projets de recrutements (dont près de 72 % jugés difficiles).Voir la fiche détaillée Poissonnier(ère)Le poissonnier prépare les produits de la pêche que sont les poissons, les crustacés et les coquillages, puis les dispose en rayon de manière attrayante. Il sert les clients, guide leur choix en fonction des arrivages et prodigue des conseils de cuisson. Il peut aussi être amené à confectionner des plats cuisinés, notamment des soupes et des terrines, et à conditionner certains produits pour le rayon libre service.Sa formation: du CAP au bac proDiplôme de base de la profession, le CAP poissonnier vous permet d’être opérationnel en 2 ans après la 3e.Il existe également un bac pro poissonnier écailler traiteur. Accessible en 3 ans après la 3e ou en 2 ans après le CAP, ce diplôme vous offre notamment la possibilité de devenir, par la suite, technico-commercial.Ses perspectives d'emploi: toujours bonnesSupermarchés et les hypermarchés détiennent environ 78 % des parts de marché du poisson frais en France. Toutes les enseignes recrutent régulièrement des poissonniers débutants et des chefs de rayon expérimentés.Voir la fiche détaillée Les métiers commerciaux en magasinLa grande distribution emploie une majorité de profils commerciaux. Principalement recrutés à bac/bac + 2, ces professionnels placent la satisfaction du client au cœur de leurs préoccupations quotidiennes, sans jamais perdre de vue les objectifs de résultats qui leur ont été fixés. Un exercice périlleux, mais exaltant ! Directeur(trice) de magasin à grande surface Le directeur de magasin à grande surface gère les activités, notamment commerciales, du magasin dont il a la responsabilité : il met en place des stratégies marketing, service par service, et fixe les objectifs de vente. Dans les surfaces de 1 000 à 5 000 m2, c’est lui aussi qui recrute et encadre les employés, supervise la comptabilité, réceptionne les marchandises. Dans les magasins de plus grande taille, il est assisté de nombreux collaborateurs.Sa formation: de bac + 2 à bac + 5Selon le rapport de branche de l’Observatoire prospectif du commerce, plus de 80 % des entreprises de la grande distribution (hypermarchés, supermarchés, entrepôts, grossistes, etc.) sont dirigées par des diplômés de niveau bac + 2 et plus. Les diplômés bac + 4, à la tête de 45 % des magasins, sont les plus nombreux.À bac + 2, le BTS management des unités commerciales, le DUT techniques de commercialisation et la formation certifiée de gestionnaire d'unité commerciale option généraliste - option spécialisée proposée par le réseau Négoventis rattaché à la CCI permettent de devenir adjoint de direction. Mais vous devrez ensuite acquérir au moins 5 années d'expérience commerciale pour atteindre le poste de directeur.À bac + 3, les licences professionnelles spécialisées en commerce et distribution permettent d'occuper directement un poste de chef de rayon ou de département. Fruit d'un partenariat avec les grandes enseignes, les licences pro DistriSup Management (ex licences Distech) sont proposées uniquement en alternance (université Panthéon-Sorbonne, université Paris-Est Créteil Val-de-Marne, université de Cergy-Pontoise).Diplômé d'une école de commerce ou d'un master universitaire professionnel (bac + 5), vous pourrez plus rapidement accéder à des postes de direction. On peut citer le master pro distribution et relation client (Université Paris-Dauphine).Ses perspectives d'emploiLes chaînes de supermarchés et d'hypermarchés emploient des directeurs. Il peut s’agir de candidatures externes comme de collaborateurs ayant déjà occupé des postes intermédiaires au sein de la même enseigne.Chez les maxi-discompteurs, les responsables de magasin ne sont généralement pas cadres.Les grands magasins embauchent des directeurs, soit pour un département du magasin, soit pour l'ensemble du magasin.Voir la fiche détaillée Employé(e) commercial(e)L’employé commercial dispose les marchandises dans les rayons en suivant les consignes d’emplacement et de présentation données par le manager de rayon. Il veille à ce qu’aucune référence ne manque, s’assure que le rayon est propre et que les produits sont bien mis en valeur. S’il s’occupe d’un rayon frais, il doit être particulièrement attentif aux dates de péremption des produits. L’employé commercial peut être amené à renseigner et conseiller les clients du magasin. En réserve, il effectue des tâches de manutention et gère les stocks à l’aide d’outils informatiques.Sa formation: pas de diplôme requis!Employé commercial est un métier qui peut s’exercer sans diplôme : selon le rapport de branche 2008 de la FCD, 41 % des personnes recrutées pour ce poste ne possèdent aucun diplôme.Cependant, un CAP employé de commerce multi-spécialités, un CAP employé de vente spécialisé, voire un bac pro (vente, commerce, etc.), vous permettra d’évoluer plus rapidement vers un poste de vendeur ou de manager de rayon adjoint.Ses perspectives d'emploiLes employés commerciaux représentent 34 % des effectifs de la grande distribution (67 % chez les maxi-discompteurs). Le secteur, de même que la distribution spécialisée, recrute en permanence ce type de profil. Étalagiste-décorateur(trice) L'étalagiste-décorateur a pour mission de valoriser les produits dans les rayons, les « têtes de gondoles » et les vitrines des commerces ou grandes surfaces. Son but est de réaliser une présentation agréable à voir pour les clients et générant davantage de chiffre d'affaires.Sa formation: le plus souvent un bac + 2S’il n'existe pas de diplôme d'État d'étalagiste-décorateur, certains diplômes et formations sont adaptés.Au niveau bac, le bac pro artisanat et métiers d’art option marchandisage visuel et le BMA graphisme et décor option décorateur de surfaces et volumes vous permettent d’accéder à ce métier. Néanmoins, un niveau bac + 2 vous sera souvent demandé.Les BTS design graphique option communication et médias imprimés, BTS design d'espace, BTS design de communication espace et volume sont accessibles après un bac STD2A ou, si vous êtes titulaire d’un autre bac, après une MANAA (mise à niveau en arts appliqués).Plus spécialisées, les formations d'étalagiste-décorateur assurées par les écoles des chambres de commerce sont particulièrement reconnues par la profession. En Île-de-France, une formation de scénographe-merchandiser post-bac en 2 ans est délivrée par l’école La Fabrique.Des écoles privées (comme MJM Graphisme design Paris) proposent également, en 2 ou 3 ans, des formations reconnues par la profession, qui allient pratique et théorie.Ses perspectives d'emploiLes centres commerciaux et magasins à grande surface sont les principaux employeurs des étalagistes-décorateurs.Les contrats tendent aussi à se développer dans les commerces de proximité et les salons commerciaux.Voir la fiche détaillée Hôte(esse) de caisse L’hôte de caisse (ou « caissier », ou encore « assistant de caisse », etc.), enregistre les prix des produits que les clients achètent et encaisse les paiements. À la fin de son service, il compte les versements contenus dans sa caisse et remplit les documents qu'il remet à la comptabilité.Sa formation: pas de diplômes requis!Selon le rapport de branche 2008 de la FCD, 45 % des hôtes de caisse n’ont aucun diplôme et 32 % sont titulaires au maximum d’un CAP ou d’un BEP.Parmi les CAP qui vous donneront facilement accès au métier d'hôte de caisse, on peut citer le CAP employé de vente spécialisé option services à la clientèle et le CAP employé de commerce multi-spécialités.Les hypermarchés préfèrent cependant les candidats ayant un niveau bac, par exemple un bac pro vente ou un bac pro commerce, accessibles désormais en 3 ans après la 3e ou en 2 ans après le CAP.Quel que soit votre niveau de formation, vous passerez des tests de rapidité et de logique et un entretien de motivation. Si votre candidature est retenue et que vous n’avez aucune expérience de caisse, vous bénéficierez d'une formation courte rémunérée.Ses perspectives d'emploiSupermarchés et hypermarchés sont les premiers employeurs d'hôtes de caisse. Le turn over y est important.Les grands magasins sont également à la recherche d'hôtes de caisse. Leur nombre est tout aussi important que dans les super et hypermarchés.La distribution spécialisée (sport, bricolage, etc.) emploie aussi des hôtes de caisse, de même que les maxi-discompteurs qui privilégient les profils polyvalents (tenue de la caisse, mise en rayon, etc.).Voir la fiche détaillée Manager(euse) de rayon Le manager de rayon, ou chef de rayon, est responsable de l'activité d'un rayon, aussi bien du travail de ses collaborateurs que des produits vendus. Il négocie auprès des fournisseurs les tarifs des marchandises. Il décide ensuite de la gestion des stocks, des prix à fixer, des promotions à afficher pour réaliser le chiffre d'affaires défini pour son rayon.Sa formation: pas de diplôme dédiéLa profession de manager de rayon est accessible aux autodidactes par promotion interne, moyennant une grande motivation et beaucoup de patience. Mais, avec un niveau bac + 2, les candidats parviennent plus rapidement à obtenir ce poste.Vous pouvez choisir un BTS management des unités commerciales, un BTS négociation et relation client, un BTS technico-commercial ou un DUT techniques de commercialisation. Ces diplômes vous mènent à ce métier en 2 ans après le bac et figurent parmi les plus appréciés des recruteurs.Après un BTS ou DUT, vous pouvez envisager une poursuite d'études en licence professionnelle (bac + 3) : par exemple, la licence pro management et gestion de rayon (université Paris Panthéon Sorbonne, IUT de Sénart-Fontainebleau) et la licence pro management du point de vente (IUT Sénart-Fontainebleau, IUT de Créteil-Vitry) sont bien adaptées.De même, les formations dispensées par les EGC (écoles de gestion et de commerce), les IFV (instituts de forces de vente), mais surtout les ECD (écoles de commerce et de la distribution) ont bonne presse au sein de la profession.Certaines enseignes recherchent, par ailleurs, des diplômés de niveau bac + 5, issus d'une école de commerce, qui pourront évoluer au sein du groupe.Le recrutement en externe s'effectue sur tests et entretiens. Une fois engagé, une formation de base de 4 à 6 mois est proposée au nouveau salarié.Ses perspectives d'emploi: des recrutements constantsLa France étant l’un des pays européens le mieux pourvus en super et hypermarchés, les managers de rayons sont recrutés régulièrement, le turn over dans la profession étant très important.Nouveau venu dans la grande distribution, le planificateur organise le travail d’employés libre-service polyvalents, qu’il répartit dans le magasin en fonction des besoins, soulageant ainsi le manager de rayon d’une partie de ses fonctions managériales.Voir la fiche détaillée Marchandiseur(euse)Pour le compte de fabricants, de centrales d'achat ou d'hypermarchés, le marchandiseur détermine la façon dont un produit sera disposé dans un rayon afin de le rendre visible et attirant pour la clientèle. Objectif final : booster les ventes !Si le rôle du marchandiseur est plus stratégique que celui de l’étalagiste-décorateur, ces deux métiers ne font parfois qu’un.Sa formation un bac + 2 c'est mieuxS'il n'existe pas de diplôme spécifique de marchandiseur, la plupart des professionnels en exercice ont suivi une formation de niveau bac + 2 à bac + 5, dans le domaine du commerce, du marketing ou de la publicité.Le BTS management des unités commerciales et le DUT techniques de commercialisation demandent 2 années d'études après le bac. L'admission se fait sur dossier.Ces diplômes peuvent être complétés par une licence professionnelle en marketing, commerce et distribution (bac + 3) : la licence pro spécialité management et marketing des réseaux de distribution en produits alimentaires (CFA vente et commerce Poissy en partenariat avec l’Université de Versailles Saint-Quentin en Yvelines – IUT de Vélizy – Site de Rambouillet et l’ISFFEL, centre de formation en alternance), licence pro e-commerce et marketing numérique, parcours marketing et commerce sur Internet (MCI, Évry-Val d’Essonne), etc.Des écoles spécialisées, souvent rattachées aux CCI, forment des professionnels du marketing et de la distribution. Vous trouvez, à bac + 2, la formation de gestionnaire d'unité commerciale et de distribution délivrée par le réseau Negoventis ou la formation de visuel merchandiseur dispensée par La Fabrique.À bac + 5, l'université propose des masters professionnels orientés marketing et pratique commerciale tels que le master pro mention marketing-vente spécialité distribution-vente (CNAM), master mention marketing-vente spécialité management des réseaux commerciaux (Paris Est Créteil Val de Marne), etc.Une autre voie envisageable est celle des grandes écoles de commerce (HEC, ESCP Europe, ESSEC, EDHEC, etc.) avec leurs spécialisations en marketing et techniques de commercialisation. Vous devez compter aussi 5 ans d'études après le bac, comprenant la préparation sur 2 ans du difficile concours d'entrée, la formation au sein de l’école et les stages en entreprise.Les perspectives d'emploi: dans des secteurs variésHygiène, beauté, confiserie, bricolage, boissons, jouets... Tous les produits disponibles dans les rayons d'une grande surface sont soumis à rude concurrence. Les fabricants recrutent donc de plus en plus de marchandiseurs pour donner le maximum de visibilité à leurs produits.Les supermarchés et hypermarchés embauchent également des marchandiseurs afin d'organiser la mise en rayon des produits et ainsi optimiser le chiffre d'affaires global.Voir la fiche détaillée Responsable de service après-venteLe responsable de service après-vente dirige une équipe de dépanneurs, de techniciens de maintenance et de personnes chargées de l'accueil des clients. Sa mission : assurer la bonne marche du service après-vente en garantissant une prise en charge rapide et efficace des produits. C’est lui qui recrute le personnel et planifie le travail du service. Il fait aussi le lien avec le fabricant du produit.Sa formation: un bac pour démarrerVous pouvez intégrer un service après-vente après un bac général ou avec les bacs pro suivants : systèmes électroniques numériques (attention dernière session en 2018) ; maintenance des matériels ; maintenance des véhicules option A : voitures particulières ; technicien de maintenance des systèmes énergétiques et climatiques ; électrotechnique, énergie, équipements communicants (attention dernière session en 2018).Après plusieurs années d'expérience et une formation en gestion et management, vous pourrez devenir responsable d'un service.Mais les recruteurs sont aujourd'hui plus sensibles aux titulaires d'un bac + 2 en commerce, en animation d'équipe ou relevant du domaine industriel. Ainsi, de nombreux BTS permettent l'accès à la fonction de responsable : maintenance des véhicules option A : voitures particulières ; électrotechnique ; maintenance et après-vente des engins de travaux publics et de manutention (attention dernière session en 2018) ; maintenance industrielle ; systèmes électroniques.Avec une formation de niveau bac + 2, une poursuite d'études est possible vers les licences professionnelles (bac + 3) dans le domaine du commerce proposant une spécialisation technico-commerciale.Ses perspectives d'emploi: des recrutements réguliersLa grande distribution et, plus encore, les magasins spécialisés en électroménager ou en biens d'équipement, recrutent régulièrement du personnel pour leurs services après-vente.Voir la fiche détaillée Vendeur(euse) en animalerie Spécialisé dans la vente d'animaux, le vendeur en animalerie conseille les clients potentiels et gère les rayons dont il a la charge. Une grande partie de son temps est consacrée à l'entretien des cages et aux soins dons les animaux ont besoin. Sa formationVous pouvez préparer, en 3 ans après la 3e, un bac pro conduite et gestion d’une entreprise du secteur canin et félin ou un bac pro technicien conseil-vente en animalerie.Enfin, il existe plusieurs certificats de capacité : ce ne sont pas des diplômes, mais des autorisations administratives délivrées par la Préfecture. Vous avez la possibilité d’en passer certificats obligatoire pour toute personne qui vend des animaux dans des jardineries-animaleries par exemple. Il en existe de deux sortes : le CCAD (certificat de capacité animaux domestiques) et le CCAND (certificat de capacité animaux non-domestiques). Ces certificats s’obtiennent après 3 ans d'expérience en animalerie ou en fonction des diplômes déjà acquis.Vous devez ensuite déposer un dossier auprès de la DDPP (Direction départementale de la protection des populations), qui remplace l’ancienne DDSV (Direction départementale des services vétérinaires). Vous passerez alors un entretien qui vous permettra de décrocher le sésame indispensable à l’ouverture d’une boutique.Ses perspectives d'emploiLes rayons animalerie des jardineries et pépiniéristes sont les principaux pourvoyeurs d'emploi pour ce profil.Les boutiques spécialisées dans la vente d'animaux recrutent chaque année des vendeurs en animalerie.Après quelques années d’expérience, les plus motivés deviendront managers de rayon.Voir la fiche détaillée Les métiers du siège social et des achatsAchats, communication, marketing, category management… les fonctions stratégiques et d’expertise se retrouvent au sein des sièges sociaux des enseignes de la grande distribution. C’est là aussi qu’exercent principalement les cadres du secteur, pour la plupart diplômés de niveau bac + 5. Acheteur(euse)Dans la grande distribution, l'acheteur est toujours spécialisé dans les produits frais, les produits d’entretien, les jouets… Son rôle consiste à acheter en très grande quantité des produits qui seront distribués dans l'ensemble des points de vente de l’enseigne. Il doit négocier auprès de ses fournisseurs les meilleurs tarifs, en prenant soin de ne pas sacrifier la qualité de la marchandise.Sa formation: un bac + 3 pour débuterLes licences professionnelles sont accessibles, en un an, après un bac + 2 (BTS ou DUT notamment) en commerce et en gestion. On peut citer la licence pro spécialité technico-commercial en produits industriels (IUT d’Évry) et spécialité gestion des achats et des approvisionnements (Paris Est Marne-la-Vallée).Pour un poste d'acheteur, un diplôme de niveau bac + 5 (université et écoles de commerce) vous sera demandé.En 2 ans après une licence, l'université propose de nombreux masters professionnels ou de recherche spécialisés en achats industriels ou internationaux (bac + 5), par exemple le master mention gestion de production, logistique et achats, parcours achat international (université Paris-Saclay) et mention gestion de production, logistique, achats parcours logistique et achats internationaux (Paris Est Créteil-Val-de Marne).Les diplômes des écoles supérieures de commerce (HEC, ESCP Europe, ESSEC business school, EDHEC, etc.) donnent aussi accès à ce métier, de préférence avec une spécialisation en achats. Il faut compter, en général, 5 ans d’études après le bac, comprenant la préparation d’un concours d’entrée sélectif (2 ans), la formation au sein de l’école et les stages en entreprise.Le mastère spécialisé gestion achats internationaux et supply chain de l'ESSEC business school, qui s’obtient en un an après un bac + 5, est une autre voie possible.Enfin, les diplômés des écoles d'ingénieurs, avec une spécialisation commerciale, peuvent conduire à la fonction achat.Ses perspectives d'emploiLes centrales d’achat de la grande distribution recrutent de nombreux acheteurs.Dans les secteurs de l'industrie et des entreprises de services, les acheteurs doivent aussi participer à la logistique de l'entreprise.Voir la fiche détaillée Category manager(euse)Fonction montante de la grande distribution, le « catman » a pour mission de développer les ventes d’une catégorie de produits en optimisant son impact sur les consommateurs. Après avoir analysé les logiques d’achat, il apporte des conseils aux enseignes sur leur politique d'assortiment, coordonne la mise en place de l'assortiment en magasin, imagine des actions promotionnelles et des stratégies de communication autour de celui-ci.Sa formation: bac + 5 obligatoireLe métier de category manager n’est pas directement accessible aux jeunes diplômés : pour décrocher ce poste, vous devrez impérativement obtenir un diplôme de niveau bac + 5 (école supérieure de commerce, master en management, etc.), puis acquérir une première expérience dans le domaine de la vente et du marketing, par exemple comme chef de produit ou chef de secteur.Ses perspectives d'emploiLes enseignes de la grande distribution et, plus encore, les grandes marques alimentaires ou non alimentaires qui commercialisent leurs produits par le biais de la grande distribution, recrutent des category managers. Les métiers en entrepôtLes entreprises de la grande distribution s’appuient sur une logistique parfaitement rôdée garantissant la continuité de l’approvisionnement. Du manutentionnaire au responsable qualité, les professionnels qui travaillent sur les quais de déchargement, dans les réserves ou les entrepôts, utilisent quotidiennement les nouvelles technologies, gage de compétitivité et de qualité de service. Magasinier(ère)Le magasinier a pour mission de gérer l'approvisionnement de la grande surface en marchandises. Produits alimentaires, jouets, vêtements... Il prend en charge la réception et le stockage des produits dans les réserves, puis leur transfert vers le magasin en vue de leur mise en rayon.Sa formation: du CAP au bac proLe CAP agent d'entreposage et de messagerie, le CAP employé de vente spécialisé option A produits alimentaires et le CAP vendeur-magasinier en pièces de rechange et équipements automobiles vous assurent un niveau de base pour exercer la profession de magasinier.Mais de plus en plus, le recrutement s'effectue au niveau du bac pro logistique qui vous permet une évolution plus rapide au sein de l'entreprise. Vous pouvez le préparer en lycée professionnel ou en contrat d'apprentissage ou de professionnalisation. Il est accessible en 3 ans après la 3e ou en 2 ans après un CAP, notamment dans les centres de formation d'apprentis d’AFTRAL et de Promotrans.Enfin, le certificat d'aptitude à la conduite des engins de sécurité (CACES) est obligatoire pour utiliser un chariot élévateur.Ses perspectives d'emploiLes grossistes et les grandes surfaces recrutent en permanence des magasiniers car elles ont du mal à trouver et à conserver leurs collaborateurs ?Voir la fiche détaillée Livreur(euse)Le livreur assure l'acheminement des marchandises du lieu de vente (ou de l’entrepôt) jusqu’au domicile du client ayant préalablement passé commande en magasin ou par internet. Il utilise le plus souvent un véhicule léger, scooter ou quatre roues au poids inférieur à 3,5 tonnes.Sa formation: pas de diplôme exigé mais le permis B obligatoirePour exercer le métier de livreur, vous devez posséder le permis de conduire B mais beaucoup de sociétés ne réclament aucun diplôme.Néanmoins, vous pouvez préparer un CAP conducteur livreur de marchandises qui se prépare en 2 ans après la classe de 3e (Saint-Ouen l’Aumône). Il est également possible d’envisager un CAP conducteur routier marchandises (Coulommiers, Gennevilliers, Le Tremblay-sur-Mauldre, Savigny-le-Temple et Saint-Ouen-l'Aumône).En 3 ans après la 3e ou en 2 ans après le CAP, vous pouvez préparer le bac pro conducteur transport routier marchandises. Le niveau requis à l'embauche progressant, les titulaires de ce bac sont avantagés.Ses perspectives d'emploiLes moyennes et les grandes surfaces de produits de consommation, de même que les enseignes de e-commerce, recrutent leurs propres chauffeurs livreurs.Les sociétés spécialisées dans la livraison, qu'il s'agisse de sociétés de transport de marchandises ou de sociétés de coursiers sont les principales sources de travail pour le livreur. Ces entreprises demandent souvent de posséder son propre véhicule.Les hôpitaux publics recrutent des livreurs expérimentés pour livrer… des organes !Voir la fiche détaillée Logisticien(enne)Le logisticien orchestre le transport de marchandises. Il est au cœur de toutes les opérations nécessaires à l'arrivée d'un produit en rayon ou à l'approvisionnement des industries en matières premières pour la production. Son objectif : trouver et mettre en œuvre la méthode la plus efficace et la plus économique de transporter et de stoker les marchandises.Sa formation: au moins un bac + 2Après l'obtention d'un bac général, un bac STMG, voire un bac pro, comme le bac pro logistique, vous pouvez suivre plusieurs voies pour devenir logisticien.Le BTS transport et prestations logistiques et le DUT gestion logistique et transport sont les diplômes de base pour accéder à la profession. Ils se préparent en 2 ans et peuvent être suivis d’une licence professionnelle (bac + 3) comme la licence pro logistique et pilotage des flux ou organisateur de transports multimodaux et internationaux de marchandises (CNAM), la licence pro responsable d’exploitation (Université Paris Est Créteil Val de Marne), la licence pro management de la chaîne logistique (Université Évry Val d’Essonne, Cergy-Pontoise…), la licence pro optimisation de la chaîne logistique (Université Vincennes Saint Denis), etc.Toutefois, un niveau bac + 5 est souvent demandé pour un poste d'encadrement.Vous pouvez préparer en 2 ans, après une licence (bac + 3), un master professionnel ou recherche (bac + 5). On peut citer le master pro management de projets logistiques (Université Panthéon Assas), le master pro transports internationaux (Université Panthéon Sorbonne), le master pro affaires internationales et négociations interculturelles (Université Paris Ouest Nanterre La Défense), le master pro gestion de l'environnement, parcours E-logistique & supply chain durable, environnement (Université Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines), le master pro logistique et achats internationaux (Université Paris Est Créteil Val de Marne), le master pro transports, logistique, territoires et environnement (Université de Cergy-Pontoise).Les masters de la filière logistique ouvrent la voie à des fonctions de responsable logistique.Les diplômés d'écoles de commerce et d’écoles d'ingénieurs sont également les bienvenus.Enfin, vous pouvez également suivre l'une des formations proposées par des écoles spécialisées gérées par les organismes professionnels du secteur (écoles des groupes AFTRAL et Promotrans).Ses perspectives d'emploi: à la hausseLes entreprises de logistique et de transports recrutent des logisticiens débutants.Dans les grandes entreprises, les débouchés sont à la hausse. Ils se situent principalement dans les secteurs du transport et du commerce (grande distribution notamment), mais aussi dans l'électronique, la construction mécanique et électrique, l'agroalimentaire, la chimie et la pharmacie.Voir la fiche détailléePréparateur(trice) de commandesAppelé aussi agent de logistique en magasinage, le préparateur de commandes assure la mise en cartons de produits commandés par un client. Il réalise ensuite l'étiquetage en vue de leur expédition ou de leur livraison.Sa formation: aucun diplôme exigéPlus de 8 préparateurs de commandes sur 10 ont pour diplôme le plus élevé un CAP ou un BEP (4 préparateurs sur 10 n’ont aucun diplôme).Pour accéder à ce métier, vous pouvez préparer un CAP agent d'entreposage et de messagerie qui constitue le diplôme de base pour exercer la profession de préparateur de commandes.Le bac pro logistique, qui se prépare en 3 ans après la 3e ou en 2 ans après le CAP vous permet une évolution plus rapide au sein de l'entreprise.Enfin, le certificat d'aptitude à la conduite des engins de sécurité (CACES) est obligatoire pour utiliser un chariot élévateur.Ses perspectives d'emploi: toujours croissantesToutes les enseignes de la grande distribution ont aujourd’hui leur « magasin on-line » : les besoins en préparateurs de commandes vont donc croissants.Plus généralement, la distribution spécialisée, de même que les entreprises commerciales et industrielles, embauchent des préparateurs de commandes.Voir la fiche détaillée Mes ressources utiles FCD, Fédération des entreprises du commerce et de la distribution12, rue Euler, 75008 Paris, tél. 01 44 43 99 00www.fcd.fr CCF, Conseil du Commerce de France40, boulevard Malesherbes, 75008 Paris, tél. 01 40 15 03 03http://www.cdcf.com FFF, Fédération Française de la Franchise60, rue La Boétie, 75008 Paris, tél. 01 53 75 22 25http://www.franchise-fff.com APCM, Assemblée Permanente des Chambres de Métiers et de l’artisanat12, avenue Marceau, 75008 Paris, tél. 01 44 43 10 00http://apcma.fr/ Horizons commercePortail d'information sur les métiers de la grande distribution (en partenariat avec le ministère du Travail, de l'Emploi et de l'insertion, la Fédération du commerce et de la distribution et les partenaires sociaux) https://www.horizons-commerce.fr/ Métiers et secteurs DistripédieCette encyclopédie participative, de type wiki, est un précieux support pour tout savoir sur la distribution et le commerce : les différentes formules (hypermarché, supermarché, hard-discount, supérette, GSS, e-commerce, VAD…), les enseignes (Carrefour, Leclerc…), les lois (Galland, Raffarin, Dutreil-Jacob, LME…), les canaux de distribution, les MDD, le marketing du point de vente, les stratégies de distribution, les formations du commerce et de la distribution (LP, DUT, BTS…). Une rubrique est également consacrée aux offres d’emploi.http://www.distripedie.com/ FCD, Fédération des entreprises du commerce et de la distributionLa FCD, Fédération des entreprises du commerce et de la distribution, réunit plus de 60 enseignes de grande distribution à prédominance alimentaire et de distribution spécialisée. Sur son site, vous trouverez une présentation détaillée du secteur de la distribution, complétée par un guide illustré des métiers et des filières de formation ainsi que par un blog.http://www.fcd.asso.fr La revue de presse de la grande distributionRéalisée par le site Distrijob.fr, cette revue de presse permet de connaître en temps réel ou presque l'actualité de la grande distribution.https://www.distrijob.fr/ Les métiers du commerceMétiers, salaires, formations, opportunités... Ce site propose de nombreuses informations utiles à ceux qui souhaitent découvrir les opportunités d'emploi dans le secteur du commerce de proximité.http://www.metiersducommerce.fr Les métiers du goûtMis en place par la CGAD, Confédération générale de l'alimentation en détail, ce site propose une découverte de ce secteur d'activités : chiffres clés, études, formations, métiers, etc. Il réunit, entre autres, des fiches métiers, un panorama des formations, un agenda.https://www.cgad.fr/metiers/ Travailler dans la distribution générale et spécialiséeCe dossier très complet publié par l'APEC à l'attention des jeunes diplômés regroupe données chiffrées, articles de fonds et interviews de pros du secteur de la grande distribution. A lire absolument.http://jd.apec.fr/Emploi-stage/Marche-Emploi/Fiches-Apec/Fiches-secteurs/Les-activites-economiques/Travailler-dans-la-distribution-generaliste-et-specialisee Choix de formations - orientation Liste des écoles de commerce délivrant un diplôme viséVous trouverez la liste officielle des écoles de commerce privées et consulaires autorisées à délivrer un diplôme visé par le ministre chargé de l'Enseignement supérieur (bulletin officiel du 20 juin 2013).https://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/sites/default/files/annexe-liste-des-tablissements-d-enseignement-sup-rieur-technique-priv-s-et-consulaires-autoris-s-d-livrer-un-dipl-me-vis-par-le-ministre-charg-de-l-e-33719.pdf Écoles - organismes de formation Licence pro de commerce et distribution - DistriSup de l'IAE de ParisLa page de la licence DistriSup de l'Institut d'administration des entreprises de Paris.https://www.iae-paris.com/fr/l3-distrisup Emploi et recrutement DistrijobCe site a été créé en 2000 par des professionnels de la distribution, avec pour ambition d'offrir un moyen simple, rapide et efficace pour mettre en relation les candidats et les employeurs des métiers de la distribution. Offres d'emploi, fiches métiers, conseils pratiques, indications de salaire vous y attendent.http://www.distrijob.fr Jobmarketingvente.comUn annuaire des recruteurs, des offres d'emploi et de stage, sans oublier des fiches sur les métiers du marketing et de la vente.http://www.jobmarketingvente.com Actualités spécialisées LSA, Libre-service actualitésMagazine en ligne dédiée à l'actualité des industries de la grande distribution et de la consommation de masse. Suivi des lancements de nouveaux produits, des campagnes de communication, de la vie des entreprises, du secteur agroalimentaire, des formations, etc. Également, des offres d'emploi en ligne.http://www.lsa.fr Points de venteCe bi-mensuel consacré à l'actualité des magasins met à votre disposition sur le net des enquêtes, des interviews, des décryptages de stratégies... Un précieux support pour acquérir une solide culture de la grande distribution.http://www.pointsdevente.fr/ Crédits photos© xavierarnau © nd3000 © serts © Tassii © Kritchanut © monkeybusinessimages © zeremski © pidjoe © sturti © kali9 © andresr © wavebreakmedia © Neustockimages © Ridofranz © XiXinXing © Thomas_EyeDesign © VladTeodor © SolStock ©FangXiaNuo © LuminaStock © kupicoo © Peopleimages
Métiers du rail : une nouvelle plateforme de formation à Aubergenville Actualité L’école L’ÉA-ITEDEC a inauguré dans les Yvelines (78) un atelier d’apprentissage dédié aux travaux de signalisation ferr...
Les métiers du transport et de la logistique Zoom Toutes les entreprises font appel aux professionnels du transport et de la logistique. Dynamique, le secteur du transpor...
Ma vie étudiante en Île-de-France Aide et conseil Je débute ma vie étudiante en île-de-France. Entre repérer le restau U, trouver un logement pour mes études et prendre s...